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Lancement de « Filière RestaurationS » : « Peser davantage dans le débat public » (10 organisations)

Lancement du collectif « Filière RestaurationS » par dix organisations professionnelles représentant les restaurations commerciales, les restaurations collectives, les grossistes, les entreprises agroalimentaires et les producteurs agricoles, telle est l’annonce de l’Ania, la FNSEA, le Geco Food Service, le GHR, les Grossistes alimentaires de France, La Coopération agricole, le Snarr, Restau’Co, le SNRC et l’Umih, le 08/10/2025. « Pour la première fois, les organisations référentes des maillons de la chaîne de valeur de toutes les restaurations de France s’unissent pour prendre la parole, être identifiées comme une filière plurielle, faire reconnaître ses spécificités et peser davantage dans le débat public », indiquent-elles d’une seule voix. Cinq axes de travail sont d’ores et déjà identifiés, à savoir : • la valorisation du savoir-faire du cuisinier, • la sécurisation des approvisionnements, • la pédagogie vis-à-vis des consommateurs, • le soutien au Titre-Restaurant, • la mise en valeur de l’attractivité des métiers. « Du champ à l’assiette, nous affirmons aujourd’hui qu’il existe une seule et même filière : celle qui approvisionne et réunit toutes les restaurations », concluent-elles.

© News Tank

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Chambres d’agriculture : « Le niveau de régionalisation reste disparate et globalement faible » (Cdc)

« Dès 2016, à des fins de plus grande efficacité, l’État a fixé comme objectif au réseau des chambres d’agriculture de renforcer sa dimension régionale en mutualisant à cet échelon les moyens consacrés aux services « supports » par les chambres départementales et en encourageant leur fusion. En 2025, le niveau de régionalisation reste pourtant disparate et globalement faible. Le décret de mai 2016, pourtant d’application obligatoire, n’a provoqué qu’une mutualisation limitée et hétérogène. Cinq chambres de région fusionnées ont bien été constituées et les chambres de niveau régional se sont partout renforcées, mais le nombre des chambres s’est peu réduit et les moyens se sont superposés », indique la Cour des comptes dans son rapport « Le réseau des chambres d’agriculture depuis leur régionalisation », publié le 01/10/2025. La Cour des comptes y analyse le fonctionnement et l’action des chambres d’agriculture dans leur ensemble au regard des objectifs et des moyens assignés par l’État, et évalue les progrès réalisés, ou non, depuis ses précédents constats et recommandations formulés en 2017 et en 2021. Les observations de la Cour des comptes s’organisent autour de quatre axes : • la recherche d’une plus forte intégration au niveau régional des chambres d’agriculture, dont l’essence est historiquement départementale, notamment dans leur mission de représentation des agriculteurs ; • le renforcement des capacités d…

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Municipales 2026 : « Des leviers à actionner pour la préservation du foncier agricole » (N. Verzotti, Civam)

Inscrire le maintien de terres agricoles dans les documents d’urbanisme ; soutenir et développer les pratiques agroécologiques sur les fermes du territoire ou encore former les élus, techniciens, animateurs de PAT sur les enjeux de précarité, de durabilité et sur les méthodes participatives, telles sont quelques-unes des actions listées dans les dix recommandations pour « un accès digne à l’alimentation durable et de qualité pour toutes et tous », formulées par treize associations agricoles, de la solidarité et de la santé et publiées le 25/09/2025. Ces recommandations s’adressent aux candidats et candidates des élections municipales de 2026. « Les collectivités ont des leviers à actionner pour la préservation du foncier agricole et le renouvellement des générations. Il y a un enjeu important à ce que notre profession se renouvelle, mais pas n’importe comment, il faut absolument mettre en place et accélérer la transition agroécologique. Ce n’est plus une option, c’est la voie qu’il faut prendre », déclare Nicolas Verzotti, président du réseau Civam, lors de la présentation des recommandations. L’objectif de ces recommandations est d’interroger et d’inspirer les collectivités locales. Les associations mèneront également des actions auprès des élus et des électeurs pour « faire vivre le débat démocratique » ainsi que pour « sensibiliser et interpeller les candidats ». « On ne parle pas assez de l’enjeu municipal au niveau…

© News Tank

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Bio : « Un désengagement de l’État, encore 18 mois à nous débrouiller seuls » (Jérôme Caillé, LCA)

« On a vu un désengagement de l’État depuis l’arrivée d’Annie Genevard, qui a réduit les budgets de communication de l’Agence bio ainsi que les budgets de recherche. Nous devons expliquer auprès des consommateurs ce qu’est la bio, ce qu’elle apporte à la fois aux consommateurs et aux territoires. La plupart des scientifiques reconnaissent que le bio permet d’atteindre beaucoup des objectifs fixés de réduction de la pollution, d’amélioration de la biodiversité, de diminution de pression de certaines matières actives. Maintenant, il faut arriver à expliquer cela et si nous le faisons bien, les consommateurs feront leur choix », déclare Jérôme Caillé, président de la commission bio de LCA, à News Tank, le 25/09/2025. Depuis le salon Tech & Bio de Bourg-lès-Valence (Drôme), LCA présente, le jour même, ses dix propositions pour relancer la consommation, renforcer la résilience des producteurs et faire du bio un moteur de la transition écologique : • le renforcement des solutions de stockage des productions bio ; • la définition d’une stratégie d’entreprise pour réguler de manière temporaire les productions ; • l’accompagnement des producteurs au travers du réseau interne de conseillers ; • le soutien aux producteurs souhaitant arrêter le bio en les réorientant vers d’autres marchés de la coopérative ; • la poursuite de l’accueil des nouveaux installés souhaitant développer une activité bio ; • la poursuite de…

© Chambre d'agriculture de Normandie

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Agrivoltaïsme : « Un cadre pour préserver le potentiel agricole de la Normandie » (Hervé Morin)

« Nous avons voulu, face à la prolifération gigantesque du nombre de projets au titre de l’agrivoltaïsme, fixer un cadre dont l’esprit est assez simple, celui de préserver le potentiel agricole de la Normandie. Nous avons bâti un guide qui est notre référentiel dans l’appréciation des projets d’agrivoltaïsme. L’essentiel du potentiel agricole de la France à l’horizon de 20 ou 30 ans, ce sera le nord-ouest de la France, dont la Normandie. Il faut le protéger pour ne pas se retrouver avec des champs transformés en panneaux photovoltaïques », déclare Hervé Morin, président de la Région Normandie, le 22/09/2025. Il présentait la doctrine normande en faveur d’un développement maîtrisé de l’agrivoltaïsme et du photovoltaïque au sol, en présence de Sébastien Windsor, président des Chambres d’agriculture de Normandie, de Clotilde Eudier, vice-présidente de la Région Normandie, chargée de l’agriculture, la pêche et la forêt et Jean-Yves Heurtin, président de la Chambre d’agriculture du Calvados. La Région Normandie et les Chambres d’agriculture de Normandie veulent encadrer ce déploiement tout en répondant au doublement du rythme de solarisation prôné par le projet de Programmation pluriannuelle de l’énergie sur la période 2025-2035. « Cette maîtrise passe par une régionalisation des conditions de déploiement de l’agrivoltaïsme en fonction des caractéristiques climatiques, pédologiques et agronomiques des territoir…

© News Tank

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Installation : un fonds de développement agricole de 10 M€ lancé par le Crédit Agricole dès 2026

Un fonds de développement agricole pour toutes les productions agricoles, d’un montant de 10 M€, sous forme de quasi-fonds propres, en soutien à l’installation des jeunes agriculteurs : telle est la principale annonce du Crédit Agricole lors du Space 2025, à Rennes, le 16/09/2025. « C’est important que ce soit des quasi-fonds propres car cela nous permet de ne pas rentrer au capital de l’exploitation. Ce fonds va permettre aux agriculteurs nouvellement installés de passer les premières années, d’alléger leurs encours et les mensualités, et de renforcer la structure financière des exploitations », déclare Jean-Pierre Touzet, directeur du pôle agri-agro, garantie et capital développement du Crédit Agricole. Ces quasi-fonds propres s’étaleront sur sept à neuf ans. Le lancement de ce fonds est prévu pour début 2026. « Le taux de renouvellement, par filière, reste largement insuffisant, entre 30 et 60 %. Si nous voulons garder nos capacités d’amont et d’aval sur nos territoires, nous allons inexorablement vers l’agrandissement des exploitations. De plus, beaucoup de jeunes s’installent aujourd’hui hors cadre familial, ils ne pourront donc pas bénéficier du même appui financier qu’on retrouve sur des transmissions familiales. Enfin, nos exploitations ont un besoin grandissant de modernisation, notamment en élevage », établit Christelle Doussineau, directrice des marchés spécialisés au Crédit Agricole des Côtes-d’Armor. Le Crédit Agricole estime…

© Sodiaal

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Sodiaal : financement de la BEI à hauteur de 70 M€

« Un prêt de 70 M€ de la BEI, assorti d’une garantie au titre du programme européen InvestEU, permettra de soutenir les investissements en recherche-développement de Sodiaal entre 2025 et 2028 afin de préserver leur modèle économique et de renforcer leur compétitivité sur un marché très dynamique », tel est l’engagement financier de la BEI, annoncé le 16/09/2025. Ce financement s’inscrit dans le cadre d’un renforcement de l’aide apportée par la BEI au monde agricole et à la bioéconomie, mais aussi dans celui du soutien de la Banque à l’innovation, via son nouveau programme TechEU. Il s’agit du second financement accordé par la banque de l’UE à Sodiaal après celui de 2018, d’un montant de 40 M€, qui portait déjà sur la recherche-développement et l’innovation. « L’industrie agroalimentaire française et européenne est confrontée à une forte concurrence internationale, à laquelle il est possible de répondre en accélérant la recherche et l’innovation. La BEI est fière de pouvoir de nouveau aider le groupe Sodiaal à réaliser des investissements importants dans de nouvelles pratiques agricoles visant à réduire les émissions de CO₂, de nouveaux produits et dans la transition énergétique de la filière laitière », déclare Ambroise Fayolle, vice-président de la BEI, chargé des opérations de la Banque…

© Vivalya

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Commerce de gros : + 1 % du CA du secteur au T2 2025 vs 2024 selon le baromètre d’activité de la CGF

Le commerce de gros enregistre une hausse de 1 % de son chiffre d’affaires sectoriel au T2 2025, par rapport à la même période en 2024, selon les résultats du dernier baromètre d’activité de la CGF, réalisé par Xerfi Specific et publié le 11/09/2025. Le chiffre d’affaires du secteur reculait de -1,5 % au T1 2025. La progression au T2 constitue un « signe encourageant » selon Stéphane Antiglio, président de la CGF. Toutefois, la tendance annuelle reste négative à -0,4 %, dans un contexte économique « globalement atone » et un climat politique incertain. « La santé et l’agroalimentaire confirment leur solidité, tandis que des segments comme le bâtiment et les produits manufacturés restent confrontés à une demande insuffisante. Au-delà des difficultés économiques, la situation nationale ajoute de l’incertitude : l’instabilité politique et le manque de visibilité sur le budget pèsent sur les investissements et la compétitivité de nos entreprises. Nous avons besoin de stabilité, de simplification réglementaire et d’un partenariat gagnant avec l’État pour relancer l’économie et permettre au commerce de gros d’assurer son rôle pivot au service de l’industrie et du commerce partout dans l’Hexagone », déclare Stéphane Antiglio. Les produits agricoles et alimentaires enregistrent une progression de leur activité à hauteur de 3,5 %, portés par la demande estivale (notamment sur les boissons, fruits et légumes). Le secteur a…

© Agrial

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Agrial : Anne Fauvel directrice générale de la branche lait Eurial

Anne Fauvel deviendra, à partir du 01/01/2026, la nouvelle directrice générale d’Eurial, la branche Lait d’Agrial, annonce le groupe coopératif le 27/06/2025. Elle intègre dès le mois de septembre 2025 le comité exécutif d’Agrial. Elle succède ainsi à Gilles Rabouille, qui part en retraite fin décembre 2025, après plus de onze années au sein du Groupe Agrial. Anne Fauvel est entrée au sein d’Agrial en 2011, en qualité de responsable contrôle de gestion du groupe. En 2012, elle devient directrice administrative et financière d’Eurial, avant d’en être nommée directrice des opérations en 2019. Auparavant, elle a été contrôleur de gestion industriel pour La Compagnie des Fromages du groupe Groupe Soparind Bongrain (Savencia), puis responsable contrôle de gestion industriel Fromagerie des Chaumes, du même groupe. Elle rejoint ensuite Lactalis, en 2002, d’abord comme responsable contrôle de gestion industriel Ultra Frais, puis responsable de production et enfin comme responsable contrôle de gestion Lactalis Lait et Nutrition de 2006 à 2011.

© pxhere

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Moratoire sur le soja au Brésil : enquête lancée contre les signataires, « un accord anticoncurrentiel »

Une procédure administrative est lancée depuis le 18/08/2025 par le Bureau du surintendant général du Conseil administratif de la défense économique du Brésil, contre les 32 associations et entreprises membres du Groupe de travail sur le soja, signataires du « moratoire sur le soja », dont l’Association brésilienne des industries d’huiles végétales et l’Association nationale brésilienne des exportateurs de céréales, annonçait le ministère de la Justice et de la Sécurité publique brésilien le 20/08/2025. Cette enquête fait suite à la plainte déposée par la Commission de l’agriculture, de l’élevage, de l’approvisionnement et du développement rural de la Chambre des députés brésilienne. Les signataires du moratoire s’engageaient à ne plus acheter de soja uniquement provenant de producteurs dont les terres cultivées étaient situées dans des régions déboisées du biome amazonien après 2008. Selon l’enquête, cela constitue un accord anticoncurrentiel entre entreprises concurrentes, nuisant ainsi aux exportations de soja. Il a donc été ordonné au groupe de travail de s’abstenir, de manière provisoire, de collecter, stocker, partager ou diffuser des informations commerciales relatives à la vente, la production ou l’achat de soja, et de réaliser des audits. Les membres du groupe doivent également s’abstenir de partager des rapports, des listes et des documents qui exploitent l’accord, en plus de retirer de leurs sites web les docum…

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Sélections

Les nominations à retenir en septembre 2025

En plus de couvrir l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en septembre 2025.

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Sélections

Les nominations à retenir en septembre 2025

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Les entretiens parus sur News Tank Agro en septembre 2025

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en septembre 2025.

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Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en septembre 2025

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Sélections

Les nominations à retenir en août 2025

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Sélections

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Dossier

Loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur

Les décrets d’application de loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, adoptée définitivement par le Sénat le 02/07/2025 et par l’Assemblée nationale le 08/07/2025 et promulguée le 11/08/2025, ne sont pas attendus avant décembre 2025 pour l’un d’entre eux et à compter de février 2026 pour les autres, selon le baromètre de l’application des lois de l’Assemblée nationale. La loi nécessite la publication de six décrets d’application. Au 11/09/2025, d’après les informations du Gouvernement, aucun décret n’a été publié, selon ce baromètre. La publication du décret d’application de l’article concernant la séparation de la vente et du conseil, attendu par les coopératives, n’interviendra pas avant février 2026, tandis que celle sur le décret concernant le comité des solutions à la protection des cultures est envisagée dès décembre 2025. La pétition citoyenne, déposée sur le site de l’Assemblée nationale, le 10/07/2025, pour demander l’abrogation du texte sera examinée par la commission des Affaires économiques de l’Assemblée nationale. Elle a cumulé plus de 2 millions de signatures de Français. Une proposition de loi visant à abroger la loi Duplomb a également été déposée par le groupe Écologiste et Social de l’Assemblée nationale et le groupe Écologiste - Solidarité & Territoires du Sénat, le 16/09/2025. L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté définitivement le texte issu de…

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Dossier

Loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur

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© Cheick Saidou / agriculture.gouv.fr

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Les ministres de l’Agriculture en France sous la V^e République

News Tank dresse la liste des ministres de l’Agriculture qui se sont succédé depuis la création du ministère de l’Agriculture en 1958, au moment de la création de la V^e République, par Charles de Gaulle. Roger Houdet est le premier nommé à ces fonctions, qu’il occupera jusqu’en 1959. Stéphane Le Foll est le ministre de l’Agriculture resté le plus longtemps en poste (cinq ans), de 2012 à 2017. Le périmètre du ministère a évolué au fil du temps (ministère de l’Agriculture ; ministère de l’Agriculture et du Développement rural ; ministère de l’Agriculture et de la Forêt ; ministère de l’Agriculture et de la Pêche ; ministère de l’Agriculture, de la Pêche et de l’Alimentation ; ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche et des Affaires rurales ; ministère de l’Agriculture, de l’Alimentation, de la Pêche, de la Ruralité et de l’Aménagement du territoire ; ministère de l’Agriculture et de l’Agroalimentaire ; ministère de l’Agriculture et de l’Alimentation). Depuis le second mandat d’Emmanuel Macron, en mai 2022, l’appellation du ministère est « ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire ». Six ministres d’Agriculture se sont succédé sous la présidence d’Emmanuel Macron, depuis sa réélection en mai 2022 : Annie Genevard (depuis le 21/09/2024) et Marc Fesneau (du 20/05/2022 au 21/09/2024), et sous son premier mandat (2017-2022) : Julien Denormandie (du 06/07/2020 au 20/05/2022), Didie…

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Les ministres de l’Agriculture en France sous la V^e République

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Céréales : bilans prévisionnels de la campagne de commercialisation 2025-2026 (FranceAgriMer)

Chaque mois, FranceAgriMer présente les bilans prévisionnels de la campagne de commercialisation en cours et la précédente, pour les principales céréales françaises (blé tendre, blé dur, maïs et orge). News Tank rend compte des évolutions mensuelles des données prévisionnelles de la filière pour la campagne 2025-2026 au niveau français. En France, la production de céréales pour 2025 est estimé à 63,149 Mt au 01/09/2025 par Agreste, soit 16,9 Mt de plus qu’en 2024 (54,010 Mt). Pour la campagne 2024-2025, la France a exporté 23,5 Mt de céréales et de produits céréaliers (blé tendre, orge, maïs grains et blé dur) vers l’Union européenne et le reste du monde, selon les bilans provisoires de FranceAgriMer, en date du 17/09/2025. 54 % des exploitations françaises cultivent des céréales, soit près de 210 000 exploitations, selon l’interprofession Intercéréales. D’après le recensement de l’Agence bio, 18 843 exploitations agricoles sont spécialisées en céréales biologiques en 2024, soit -7,6 % par rapport à 2023 (20 460 fermes).

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Céréales : bilans prévisionnels de la campagne de commercialisation 2025-2026 (FranceAgriMer)

Chaque mois, FranceAgriMer présente les bilans prévisionnels de la campagne de commercialisation en cours et la précédente, pour les principales céréales françaises (blé tendre, blé dur, maïs et orge). News Tank rend compte des évolutions mensuelles des données prévisionnelles de la filière pour la campagne 2025-2026 au niveau français. En France, la production de céréales pour 2025 est estimé à 63,149 Mt au 01/09/2025 par Agreste, soit 16,9 Mt de plus qu’en 2024 (54,010 Mt). Pour la campagne 2024-2025, la France a exporté 23,5 Mt de céréales et de produits céréaliers (blé tendre, orge, maïs grains et blé dur) vers l’Union européenne et le reste du monde, selon les bilans provisoires de FranceAgriMer, en date du 17/09/2025. 54 % des exploitations françaises cultivent des céréales, soit près de 210 000 exploitations, selon l’interprofession Intercéréales. D’après le recensement de l’Agence bio, 18 843 exploitations agricoles sont spécialisées en céréales biologiques en 2024, soit -7,6 % par rapport à 2023 (20 460 fermes).

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Commerce extérieur : évolution du commerce français de produits agroalimentaires bruts et transformés

Tous les mois, Agreste dévoile les chiffres des importations et des exportations françaises des produits agroalimentaires bruts et transformés dans le monde, en valeur (M€) ainsi que l’évolution de ce montant sur un an, par rapport au même mois l’année précédente. News Tank assure le suivi des montants des importations et des exportations de produits agroalimentaires bruts et transformés de la France, chaque mois pour l’année en cours, et leur évolution sur un an, par rapport à l’année précédente, ainsi que le solde pour chaque catégorie.

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Commerce extérieur : évolution du commerce français de produits agroalimentaires bruts et transformés

Tous les mois, Agreste dévoile les chiffres des importations et des exportations françaises des produits agroalimentaires bruts et transformés dans le monde, en valeur (M€) ainsi que l’évolution de ce montant sur un an, par rapport au même mois l’année précédente. News Tank assure le suivi des montants des importations et des exportations de produits agroalimentaires bruts et transformés de la France, chaque mois pour l’année en cours, et leur évolution sur un an, par rapport à l’année précédente, ainsi que le solde pour chaque catégorie.

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© Hectar

Think

Transition agricole : « Remettre cette capacité de gestion et de management » (A. Bourolleau, Hectar)

« Financer son outil d’exploitation, se rémunérer face à des attentes d’entrepreneurs ou de salariés qui ont complètement changé entraîne une réorganisation des fermes autour de cet enjeu social. Taille critique et valeur ajoutée sont les deux jambes sur lesquelles nous travaillons. Il faut vraiment remettre cette capacité de gestion et de management au cœur du dispositif. Il faut repenser l’entreprise agricole comme toute entreprise avec les mêmes fondamentaux, et on voit que ça peut paraître évident quand on vient d’un autre secteur, mais que ce n’est pas une approche aussi habituelle dans ce secteur », déclare Audrey Bourolleau, cofondatrice et directrice d’Hectar, à News Tank, le 15/10/2025. L’ancienne conseillère d’Emmanuel Macron à l’agriculture, et désormais à la tête de la Ferme pilote Hectar dans les Yvelines, prône une transition sociale des modes d’organisation des exploitations pour gagner en rentabilité, en parallèle des transitions à mener vers une agriculture plus durable. « Pour attirer des repreneurs, nous disons qu’une ferme est une entreprise, une entreprise qui demande beaucoup de capitaux. Si j’enlève toutes les micro-fermes de maraîchage, vous n’avez pas une ferme en France, qu’elle soit céréalière, d’élevage, qui est en dessous de 2 M€ minimum. » « C’est un peu le passage d’un mode de vie, une histoire agricole qui était constituée autour d’un ou d’une femme clé…

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Transition agricole : « Remettre cette capacité de gestion et de management » (A. Bourolleau, Hectar)

« Financer son outil d’exploitation, se rémunérer face à des attentes d’entrepreneurs ou de salariés qui ont complètement changé entraîne une réorganisation des fermes autour de cet enjeu social. Taille critique et valeur ajoutée sont les deux jambes sur lesquelles nous travaillons. Il faut vraiment remettre cette capacité de gestion et de management au cœur du dispositif. Il faut repenser l’entreprise agricole comme toute entreprise avec les mêmes fondamentaux, et on voit que ça peut paraître évident quand on vient d’un autre secteur, mais que ce n’est pas une approche aussi habituelle dans ce secteur », déclare Audrey Bourolleau, cofondatrice et directrice d’Hectar, à News Tank, le 15/10/2025. L’ancienne conseillère d’Emmanuel Macron à l’agriculture, et désormais à la tête de la Ferme pilote Hectar dans les Yvelines, prône une transition sociale des modes d’organisation des exploitations pour gagner en rentabilité, en parallèle des transitions à mener vers une agriculture plus durable. « Pour attirer des repreneurs, nous disons qu’une ferme est une entreprise, une entreprise qui demande beaucoup de capitaux. Si j’enlève toutes les micro-fermes de maraîchage, vous n’avez pas une ferme en France, qu’elle soit céréalière, d’élevage, qui est en dessous de 2 M€ minimum. » « C’est un peu le passage d’un mode de vie, une histoire agricole qui était constituée autour d’un ou d’une femme clé…

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Vivéa : « +13 % de bénéficiaires et +15 % en financement grâce au plan de relance » (Émilie Lecerf, DG)

« Pour dresser un bilan global de notre activité depuis le lancement de ce plan de relance, nous avons eu +13 % en termes de bénéficiaires entre 2024 et 2025 et presque +15 % par rapport à 2024 en termes de financement. Ce plan de relance a été une réussite aussi grâce aux élus fortement moteurs sur ce sujet, avec une gouvernance territoriale très impliquée, et ce, jusqu’à la fin de leur mandat. Les bons résultats sont aussi dus à leur implication et à leur travail sur l’adaptation au plus près des territoires », déclare Émilie Lecerf, directrice générale de Vivéa, fonds d’assurance pour la formation des actifs non-salariés agricoles, à News Tank, le 10/10/2025. « Nous observons également que le taux d’accès à la formation restait plus faible dans les filières végétales (15,6 %), relativement à l’ensemble des filières (élevage et végétal : 19 %, élevage : 23 %). Nous avons mené une étude pour comprendre les attentes et les freins à la formation des chefs d’entreprise agricole dans les filières végétales. Il en ressort que les contraintes organisationnelles demeurent particulièrement prégnantes : la saisonnalité, la pluriactivité ou encore l’absence de personnel de remplacement limitent la disponibilité. À cela s’ajoute une préférence marquée pour des modes d’apprentissage plus souples, tels que le conseil de proximité, souvent perçu comme plus immédiatement opérationnel.…

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Vivéa : « +13 % de bénéficiaires et +15 % en financement grâce au plan de relance » (Émilie Lecerf, DG)

« Pour dresser un bilan global de notre activité depuis le lancement de ce plan de relance, nous avons eu +13 % en termes de bénéficiaires entre 2024 et 2025 et presque +15 % par rapport à 2024 en termes de financement. Ce plan de relance a été une réussite aussi grâce aux élus fortement moteurs sur ce sujet, avec une gouvernance territoriale très impliquée, et ce, jusqu’à la fin de leur mandat. Les bons résultats sont aussi dus à leur implication et à leur travail sur l’adaptation au plus près des territoires », déclare Émilie Lecerf, directrice générale de Vivéa, fonds d’assurance pour la formation des actifs non-salariés agricoles, à News Tank, le 10/10/2025. « Nous observons également que le taux d’accès à la formation restait plus faible dans les filières végétales (15,6 %), relativement à l’ensemble des filières (élevage et végétal : 19 %, élevage : 23 %). Nous avons mené une étude pour comprendre les attentes et les freins à la formation des chefs d’entreprise agricole dans les filières végétales. Il en ressort que les contraintes organisationnelles demeurent particulièrement prégnantes : la saisonnalité, la pluriactivité ou encore l’absence de personnel de remplacement limitent la disponibilité. À cela s’ajoute une préférence marquée pour des modes d’apprentissage plus souples, tels que le conseil de proximité, souvent perçu comme plus immédiatement opérationnel.…

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Gaïago : « L’enjeu est grand sur l’état des sols, promouvoir l’agriculture régénératrice » (Samuel Marquet)

« Les pouvoirs publics peuvent être un vrai accélérateur. L’enjeu est grand sur l’état des sols. Aujourd’hui, 62 % des sols européens sont dégradés (source Union européenne), c’est-à-dire autour de 80 Mha. Juste en termes d’image, si demain, sur ces 80 Mha, on stockait 3/t de carbone par hectare et par an, on amène la France à la neutralité carbone. Ce qui peut se passer sur les sols agricoles est juste énorme en termes d’impact positif sur le dérèglement climatique. Les sols ont une vraie capacité de stockage et on a besoin de former, faire connaître. Il faut passer à une agriculture qui s’appuie sur le vivant. L’État français doit contribuer à promouvoir les modèles d’agriculture régénératrice », déclare Samuel Marquet, directeur général chargé de l’innovation, du marketing et du développement de Gaïago à News Tank, le 03/10/2025. Il revient pour News Tank sur le modèle économique de Gaïago, après sa mise en redressement judiciaire, sur les résultats du programme Gaïago Carbone lancé en 2022. « Les études scientifiques à la base de notre programme carbone, nous ont montré que globalement il était possible de stocker 3 tonnes équivalent CO₂ par an et par hectare. L’un des enjeux de demain est de maximiser c…

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Gaïago : « L’enjeu est grand sur l’état des sols, promouvoir l’agriculture régénératrice » (Samuel Marquet)

« Les pouvoirs publics peuvent être un vrai accélérateur. L’enjeu est grand sur l’état des sols. Aujourd’hui, 62 % des sols européens sont dégradés (source Union européenne), c’est-à-dire autour de 80 Mha. Juste en termes d’image, si demain, sur ces 80 Mha, on stockait 3/t de carbone par hectare et par an, on amène la France à la neutralité carbone. Ce qui peut se passer sur les sols agricoles est juste énorme en termes d’impact positif sur le dérèglement climatique. Les sols ont une vraie capacité de stockage et on a besoin de former, faire connaître. Il faut passer à une agriculture qui s’appuie sur le vivant. L’État français doit contribuer à promouvoir les modèles d’agriculture régénératrice », déclare Samuel Marquet, directeur général chargé de l’innovation, du marketing et du développement de Gaïago à News Tank, le 03/10/2025. Il revient pour News Tank sur le modèle économique de Gaïago, après sa mise en redressement judiciaire, sur les résultats du programme Gaïago Carbone lancé en 2022. « Les études scientifiques à la base de notre programme carbone, nous ont montré que globalement il était possible de stocker 3 tonnes équivalent CO₂ par an et par hectare. L’un des enjeux de demain est de maximiser c…

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© Welfarm

Fiche personne

Stéphane Boissavy

Responsable campagnes, plaidoyer et affaires juridiques @ Welfarm

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Stéphane Boissavy

Responsable campagnes, plaidoyer et affaires juridiques @ Welfarm

© European Parliament

Fiche personne

Stéphane Séjourné

Vice-président exécutif chargé de la prospérité et de la stratégie industrielle @ Commission européenne

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Stéphane Séjourné

Vice-président exécutif chargé de la prospérité et de la stratégie industrielle @ Commission européenne

© Avril

Fiche personne

Paul-Yves L’Anthoën

© Avril

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Paul-Yves L’Anthoën

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© Vivien Paille

Fiche organisation

Vivien Paille

• Industrie agroalimentaire, filiale du groupe Avril depuis 2022• Création : 1989• Activités : transformation, conditionnement et commercialisation du riz, des légumes secs, des céréales, des graines et des protéines végétales• Données clés : - Implantation : deux sites de production à Valenciennes (59) et Arles (13)• Directrice générale : Barbara Ferrand-Lecoq• Contact : Rodolphe Dezutter, directeur commercial et marketing

© Vivien Paille

Fiche organisation

Vivien Paille

• Industrie agroalimentaire, filiale du groupe Avril depuis 2022• Création : 1989• Activités : transformation, conditionnement et commercialisation du riz, des légumes secs, des céréales, des graines et des protéines végétales• Données clés : - Implantation : deux sites de production à Valenciennes (59) et Arles (13)• Directrice générale : Barbara Ferrand-Lecoq• Contact : Rodolphe Dezutter, directeur commercial et marketing

Fiche organisation

Darégal

• Entreprise familiale française, leader mondial des herbes surgelées prêtes à l’emploi• Création : 1887• Activités : préserver toute la fraîcheur et l’intensité aromatique des herbes pour les professionnels comme pour les consommateurs, en conjuguant savoir-faire agricole et expertise industrielle.• Implantation : 54 pays • Données clés : - chiffre d’affaires : 215 M€- 600 collaborateurs- 5 sites de production• Présidente : Céline Endler Darbonne • Directrice générale : Alexia Chassagne• Contact : Carole Nicolas• Tél. : 06 74 08 92 57

Fiche organisation

Darégal

• Entreprise familiale française, leader mondial des herbes surgelées prêtes à l’emploi• Création : 1887• Activités : préserver toute la fraîcheur et l’intensité aromatique des herbes pour les professionnels comme pour les consommateurs, en conjuguant savoir-faire agricole et expertise industrielle.• Implantation : 54 pays • Données clés : - chiffre d’affaires : 215 M€- 600 collaborateurs- 5 sites de production• Présidente : Céline Endler Darbonne • Directrice générale : Alexia Chassagne• Contact : Carole Nicolas• Tél. : 06 74 08 92 57

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YéO Frais

• Entreprise agroalimentaire, filiale du groupe Les Maîtres Laitiers du Cotentin, spécialisé dans l’ultra frais laitier. • Création : 1929• Activités : conception, production et transformation de yaourts et crèmes fraîches, essentiellement pour des marques de distributeurs• Implantation : Toulouse • Données clés : - 240 salariés - Chiffre d’affaires : 130 M€ (2024)• Directrice générale : Bénédicte Rolland• Contact : Florence Millet • Tél. : 06 62 01 77 61

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YéO Frais

• Entreprise agroalimentaire, filiale du groupe Les Maîtres Laitiers du Cotentin, spécialisé dans l’ultra frais laitier. • Création : 1929• Activités : conception, production et transformation de yaourts et crèmes fraîches, essentiellement pour des marques de distributeurs• Implantation : Toulouse • Données clés : - 240 salariés - Chiffre d’affaires : 130 M€ (2024)• Directrice générale : Bénédicte Rolland• Contact : Florence Millet • Tél. : 06 62 01 77 61

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