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© UE/Dati Bendo

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UE : rejet de la proposition hongroise de législation européenne contre la viande cellulaire

L’interdiction a priori de toute recherche portant sur la création de viande cellulaire (à destination autre que la santé humaine ou animale) demandée par la Hongrie, actuel président du Conseil de l’UE, a été déclarée irrecevable par la Commission européenne, le 10/10/2024. Les documents afférents à cette demande -demande de législation de la part du ministère des Affaires étrangères de la Hongrie ; réponse de la part de Stella Kyriakides, Commissaire européenne à la Santé ; commentaires d’États membres (République tchèque, Pays-Bas, Suède et Lituanie)- ont été rendus publics le 25/10/2024, et exposent les motivations de la fin de non-recevoir émise par la Commission européenne.

© Mídia NINJA / Flickr

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Mercosur : arrêt total des négociations demandé par la FNSEA, JA, FNB, CFA, AGPM, CGB et FNPL

La FNSEA, les JA, et les organisations professionnelles FNB, CFA, AGPM, CGB et FNPL, demandent à Emmanuel Macron, président de la République, et à Michel Barnier, Premier ministre, l’arrêt total des négociations commerciales autour de l’accord de libre-échange du Mercosur, le 21/10/2024. « Il est inconcevable que l’agriculture européenne, durable, soit remplacée par celle d’autres continents dont les pratiques interdites en Europe, sont moins-disantes socialement et environnementalement », déclarent conjointement les organisations. Elles soulignent notamment que la Commission européenne ignore l’opposition des agriculteurs à cet accord, et les attentes des consommateurs concernant les enjeux économiques, environnementaux et de bien-être animal, en reprenant les négociations en vue d’une ratification de l’accord. Les organisations d’exploitants agricoles mettent en avant les conséquences d’une ratification du Mercosur sur les échanges commerciaux : + 99 000 t de viandes bovines, + 180 000 t de viandes de volaille, + 3,4 Mt de maïs, + 180 000 t de sucre, + 8,2 Mhl de biocarburants. « Cet accord offre des concessions majeures en termes de volumes de contingents, alors même qu’aucune mesure de réciprocité concernant les conditions de production n’est inclue, au détriment de notre souveraineté alimentaire, de nos économies et de la santé du consommateur. »

© Pixabay / Tama66

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Agroécologie : « Faire mieux avec le même volume de crédit » (B. Huet, CGDD)

« Nous avons l’ambition de réussir à mieux orienter les financements publics en matière d’accompagnement des agriculteurs pour répondre à la prise de risque qu’ils prennent en s’engageant dans l’agroécologie », a déclaré Brice Huet, commissaire général du développement durable au ministère de la Transition écologique, de l’Énergie, du Climat et de la Prévention des risques, dans le cadre du Giverny de l’alimentation, à Paris, le 16/10/2024. News Tank rapporte les échanges entre Brice Huet, Karima Kaci, directrice générale de Pact’Alim et Léo Tyburce, responsable du plaidoyer Agriculture, Alimentation et Eau douce de WWF France, sur le sujet du financement de la transition écologique notamment via la politique agricole commune.

© Ministère de l'Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt

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« Le sujet sanitaire est la priorité qui m’occupe » (Annie Genevard, ministre de l’Agriculture)

« Je l’ai dit à tous les éleveurs que j’ai rencontrés depuis ce matin et je vous le redis ce soir : le sujet sanitaire est la priorité qui m’occupe depuis la première heure que j’ai passée dans mon bureau de la rue de Varenne. Et ma première réunion de travail a été sur ce dossier brûlant avec la direction générale de l’Alimentation », déclare Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt, le 03/10/2024, dans le cadre du Sommet de l’Élevage. La ministre évoque la vaccination et l’indemnisation des éleveurs touchés par la MHE et la FCO. Elle parle également du paiement des avances PAC, de la lutte contre la décapitalisation du cheptel bovin, ainsi que des réflexions qui reprendront concernant la loi Egalim. « Je veux sécuriser rapidement ces acquis au Sénat pour ne pas risquer de les détricoter avec la tentation d’un nouveau texte livré aux équilibres incertains de l’Assemblée Nationale », conclut-elle en évoquant les discussions interrompues sur la LOA. News Tank rend compte des annonces de la ministre.

© Axéréal Elevage

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Avril : autorisation sans conditions de la prise de contrôle d’Axéréal Élevage

L’Autorité de la concurrence autorise sans conditions la prise de contrôle exclusif de la société Axéréal Élevage par le groupe Avril, annonce-t-elle le 27/09/2024. Par cette opération, le groupe spécialisé dans les huiles et les protéines végétales acquiert l’ensemble des activités de nutrition animale du groupe Axéréal, par l’intermédiaire de sa filiale Sanders spécialisée dans la production et la commercialisation d’aliments pour animaux d’élevage. Axéréal Élevage est rebaptisé Tellus. « L’Autorité a considéré que l’opération n’est pas de nature à porter atteinte à la concurrence, que ce soit par le biais d’effets horizontaux ou verticaux », fait-elle savoir. Le groupe Avril a notifié à l’Autorité son projet de prise de contrôle exclusif de la société Axéréal Élevage, le 19/07/2024.

© Ania / FCD / Montage photo / News Tank

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Distribution : les réactions de l’Ania, la FCD et Pact’Alim à la création d’Aura Retail

« Les distributeurs se plaignent des caricatures qui sont faites d’eux et pourtant, chaque jour, ils les justifient », déclare Jean-François Loiseau, président de l’Ania le 24/09/2024, à la suite de l’annonce, le 23/09/2024, de la création de l’alliance Aura Retail par Intermarché, Auchan et le groupe Casino, qui rejoindra les centrales d’achats européennes Epic et Everest. L’Ania soulève la position ambivalente des distributeurs, qui, d’une part, soutiennent l’application de la loi Egalim, et d’autre part, rejoignent des centrales d’achats à l’étranger. L’organisation professionnelle rappelle notamment les pratiques de ces centrales d’achats : non-respect de la date butoir, non-respect d’Egalim et du principe fondamental de « sanctuarisation de la matière première agricole ». « Il serait temps que les multinationales cessent de se draper dans le prétexte de la défense du monde agricole, alors qu’elles ne protègent en réalité ni les agriculteurs, ni les consommateurs durement frappés par l’inflation, mais bien leurs seules marges », déclare Layla Rahhou, déléguée générale de la FCD, le 24/09/2024. La FCD pointe le fait que des multinationales mènent « des stratégies de cloisonnement et de fragmentation du marché européen », en vendant certains produits plus chers selon le pays, et en empêchant la comparaison des prix d’achat ou la comparabilité de leurs produits en Europe. La fédération accuse les multinationales industrielles « d’hypocrisie…

© Antoine Bovio

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Bpifrance : Sublime Energie et Cilkoa sélectionnées pour l’accélérateur Néo start-up industrielles

Sublime Energie et Cilkoa font partie de la sixième promotion de l’accélérateur Néo start-up industrielles, annonce Bpifrance le 12/09/2024. Ces deux start-ups bénéficieront, aux côtés de sept autres start-up industrielles innovantes, d’un accompagnement de 9 à 15 mois dans leur phase d’industrialisation. Sublime Energie est une société à mission deeptech créée en 2019. Elle permet aux exploitations agricoles de valoriser le biogaz produit par méthanisation en proposant une solution de collecte, transport, épuration et conditionnement de biogaz, répondant aux enjeux environnementaux notamment climatiques, tout en créant une nouvelle filière locale d’approvisionnement en bioGNV (Gaz Naturel Véhicule) et en bioCO₂. En 2024, Sublime Energie a levé 11,5 M€ en Série A, auprès du fonds Révolution Environnementale et Solidaire géré par le Crédit Mutuel Impact et les Mines Paris-PSL, pour déployer la liquéfaction de biogaz à la ferme. Cilkoa est une start-up deeptech créée en 2022. Elle propose des solutions permettant d’apporter au papier les fonctionnalités barrières qui lui manquent, en particulier aux gaz : oxygène, vapeur d’eau, CO₂. Tout cela, sans altérer la fin de vie durable propre aux matériaux cellulosiques : recyclabilité et compostabilité sont conservées. Le marché alimentaire et celui de la cosmétique sont ses principales cibles de débouchés. L’accélérateur Néo start-up…

© Tereos

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Tereos : première pierre d’une chaufferie à CSR dans les Hauts-de-France

La première pierre d’une chaufferie à CSR (Combustibles Solides de Récupération) a été posée le 05/09/2024 dans les Hauts de France, pour le groupe Tereos en partenariat avec Suez, indique le groupe sucrier le 10/09/2024. Cette future installation remplacera à partir de 2024, à hauteur de 40 %, la consommation de gaz fossile nécessaire au fonctionnement de la sucrerie-distillerie d’Origny-Sainte-Benoite (Aisne). Les CSR valorisés par ce projet correspondront à environ 25 % du gisement local estimé par le volet Sraddet du Plan régional de prévention et de gestion des déchets de la région Hauts-de-France. « La volonté d’implanter cette chaufferie CSR sur notre site d’Origny-Sainte-Benoite témoigne de l’engagement de notre coopérative à transformer son approche énergétique. Elle s’inscrit dans notre démarche de décarbonation avec un objectif de réduction de 65 % de nos émissions de CO₂ en Europe à horizon 2032, et de zéro net émission à horizon 2050. Mener cette transition écologique est indispensable pour repenser un modèle souverain et créateur de valeur pour nos coopérateurs, pour répondre aux besoins de nos clients et aider les territoires sur lesquels nous sommes implantés à faire face à leurs enjeux environnementaux », indique Olivier Leducq, directeur général de Tereos. Cette installation sera construite et opérée par Suez, qui inv…

© Lilie Bedos/Edonia

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Substituts de viande : 1,1 Md$ de ventes dans le monde en 2023, 3^e année de baisse consécutive

Les ventes mondiales de substituts de viande ont atteint 1,1 Md$ en 2023, marquant une troisième année de baisse consécutive depuis le record de 2020 (1,3 Md$), mais restent toutefois supérieures à celles d’avant la pandémie (859 M$ en 2019), selon le rapport « The Current State of Meat Alternatives » rendu public par Circana, cabinet de conseil spécialisé dans la consommation, le 09/09/2024. Aux États-Unis, les surgelés représentent 70 % des ventes de substituts de viande, contre 30 % pour les substituts de viande fraîche. Parmi les consommateurs de substituts de viande, 53 % (+1,5 % par rapport à 2022) se tournent exclusivement vers les surgelés, 18 % (+1,5 %) exclusivement vers les substituts de viande fraîche. 29 % (-3 %) consomment aussi bien les uns que les autres. Après une croissance importante en 2020, les détaillants réorganisent leurs magasins et réduisent leur offre. Le nombre moyen de substituts de viande disponibles dans les magasins américains est ainsi de 39,6 en 2024, contre 42,6 en 2023 et 45,8 en 2022. Le nombre de marques présentes sur le marché a également décliné, passant de 116 en 2020 à 83 en 2024.

© FRAB Auvergne-Rhône-Alpes

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Retard de paiement des aides PAC : la faute de l’État reconnue au-delà d’un an (Fnab)

Instruire les dossiers PAC des agriculteurs au-delà d’un an constitue désormais une faute de la part de l’État, telles sont les décisions rendues par les cours administratives d’appel de Lyon, Bordeaux et Nantes, après cinq années de procès entamé par la Fnab, annonce la fédération le 10/09/2024. « Tout dossier d’aide agricole est concerné, mais les dossiers bio sont très largement majoritaires dans ceux qui atteignent un an de retard », indique Philippe Camburet, président de la Fnab, à News Tank. L’État n’a pas fait appel de ces décisions et s’engage à indemniser tous les agriculteurs bio qui se sont présentés devant la justice pour des retards de paiement. En 2019, la Fnab a voulu faire reconnaître la faute de l’État par la justice dans le retard des paiements des aides à la conversion en agriculture biologique. Les juges considèrent aujourd’hui que les délais de traitements doivent être « raisonnables », moins d’un an. Pour les dossiers déposés en avril et mai 2023, les aides à la conversion en agriculture biologique ont été versées en juillet 2024, selon la Fnab. La fédération demande alors que ces dossiers soient traités en même temps que les aides du pilier 1 de la PAC.

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Sélections

Les nominations à retenir en octobre 2024

Parallèlement à la couverture de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en octobre 2024.

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Les nominations à retenir en septembre 2024

En plus de couvrir l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en septembre 2024.

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Les nominations à retenir en septembre 2024

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Les entretiens parus sur News Tank Agro en septembre 2024

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en septembre 2024.

© JUST A PICS

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Les entretiens parus sur News Tank Agro en septembre 2024

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Dossier

Engrais : les enjeux d’une transition

News Tank aborde les enjeux de la souveraineté des engrais et son rôle incontournable dans la décarbonation de l’agriculture. Bien que le marché soit moins volatil qu’en 2022 et 2023, les prix continuent de connaître des fluctuations marquées. Dans ce cadre, les distributeurs se positionnent comme des moteurs essentiels, soutenant les agriculteurs dans cette transition tout en garantissant la compétitivité des exploitations. La souveraineté en matière d’engrais apparaît d’autant plus essentielle que la quantité d’engrais russes importés en France s’élevait à 750 000 tonnes en 2023 (contre 400 000 en 2021), soit 10 % des engrais utilisés la même année. « Ce chiffre pourrait être majoré d’environ 300 000 tonnes en ajoutant les produits passés par d’autres pays (Belgique, Turquie), qui ne seraient pas directement identifiés d’origine russe », indique Jacques Fourmanoir, vice-président de l’Unifa et directeur général Agrofourniture chez Timac Agro France, à News Tank. Pour remédier à cette situation, 16 propositions ont été transmises début juin 2024 à Agnès Pannier-Runacher, alors ministre déléguée auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, dans le cadre du futur plan de souveraineté sur les engrais, annoncé en mars 2024 par Marc Fesneau, ministre du Masa. Les propositions comportent trois axes : la limitation de la dépendance de la France à l’égard des importations, la sécurisation de l’environnement jur…

Dossier

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Dossier

Biostimulants : prouver l’efficacité

News Tank décrypte l’évolution du secteur des biostimulants en France. Réglementation, innovations, expérimentations : si le marché national ne cesse de se structurer, les preuves d’efficacité des produits au champ restent le premier critère attendu par les distributeurs et, il va sans dire, des agriculteurs. Retrouvez dans ce dossier toutes les nouveautés et tendances qui nourrissent un marché en pleine croissance, alimenté par de nombreux témoignages. Fayçal Bellatif, directeur général d’Eurofins certification, dresse un premier bilan de l’application du règlement UE 2019/1009, encadrant la mise sur le marché de fertilisants et entré en vigueur le 16/07/2022. Une quinzaine d’organismes se sont déclarés compétents pour certifier le PFC6, relatif aux biostimulants. Eurofins Certification est, depuis mars 2023, le premier et -pour l’heure- le seul organisme français notifié pour la certification CE des fertilisants et biostimulants. « Quand nous avons commencé, il y avait une faible compréhension du règlement », déclare Fayçal Bellatif, qui note, en guise de conclusion, une évolution positive : « Aujourd’hui, les industriels sont de plus en plus compétents et alertes sur le sujet ». Du côté des centrales, l’intérêt des biostimulants n’est déjà plus à démontrer. Bon nombre d’entre elles estiment toutefois qu’un approfondissement des recherches et une sélection des produits demeurent indispensables pour faciliter leur utilisation par les agriculteurs. « L’absence de certit…

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Dossier

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Dossier

Loi de finances pour 2025

Le PLF 2025 a été rejeté en première lecture par l’Assemblée nationale, donc l’entièreté du texte est rejeté et transmis au Sénat. Le texte initial du projet de loi sera étudié en séance publique au Sénat à partir du 25/11/2024. News Tank a dénombré neuf mesures concernant les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire, dont la suppression de la hausse du prix du GNR, l’augmentation du taux de dégrèvement appliqué à la TFPNB sur les terres agricoles ou encore la pérennisation du dispositif TODE. Le PLF 2025 a été adopté en conseil des ministres le 10/10/2024 et déposé à l’Assemblée nationale pour être examiné en fond par la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire à partir du 16/10/2024 pour la première partie du texte et du 21/10/2024 pour la seconde partie.

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Dossier

Loi de finances pour 2025

Le PLF 2025 a été rejeté en première lecture par l’Assemblée nationale, donc l’entièreté du texte est rejeté et transmis au Sénat. Le texte initial du projet de loi sera étudié en séance publique au Sénat à partir du 25/11/2024. News Tank a dénombré neuf mesures concernant les secteurs de l’agriculture et de l’agroalimentaire, dont la suppression de la hausse du prix du GNR, l’augmentation du taux de dégrèvement appliqué à la TFPNB sur les terres agricoles ou encore la pérennisation du dispositif TODE. Le PLF 2025 a été adopté en conseil des ministres le 10/10/2024 et déposé à l’Assemblée nationale pour être examiné en fond par la commission des finances, de l’économie générale et du contrôle budgétaire à partir du 16/10/2024 pour la première partie du texte et du 21/10/2024 pour la seconde partie.

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Mefi : les membres du cabinet de Marc Ferracci

News Tank répertorie les membres du cabinet de Marc Ferracci, ministre délégué chargé de l’Industrie, auprès d’Antoine Armand, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, liste actualisée au 24/10/2024. Ils sont 12, sept hommes et cinq femmes. Son prédécesseur, au sein du cabinet de Bruno Le Maire, était Roland Lescure. Le cabinet de Marc Ferracci est ainsi composé : • un directeur de cabinet ; • deux directeurs adjoints de cabinet ; • un chef de cabinet ; • un chef de cabinet adjoint ; • un conseiller chargé du parlement et des élus locaux ; • un conseiller numérique, télécommunications et électronique ; • un conseiller décarbonation de l’industrie et industries de base ; • un conseiller automobile, batteries et mines ; • un conseiller compétences, relocalisation et achats publics ; • un conseiller industries de santé, biens de consommation et agroalimentaire ; • un conseiller stratégie de presse et communication.

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Mefi : les membres du cabinet de Marc Ferracci

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Mefi : les membres du cabinet de Laurence Garnier

News Tank répertorie les membres du cabinet de Laurence Garnier, secrétaire d’État chargée de la Consommation auprès d’Antoine Armand, ministre de l’Économie, des Finances et de l’Industrie, liste actualisée au 14/10/2024. Ils sont 5, quatre hommes et une femme. Sa prédécesseuse, au sein du cabinet de Bruno Le Maire, était Olivia Grégoire. Le cabinet de Laurence Garnier est ainsi composé : • un directeur de cabinet ; • un chef de cabinet ; • un conseiller parlementaire ; • une conseillère chargée de l’évolution des modes de consommation et du suivi des réformes ; • un conseiller chargé de la protection des consommateurs et des relations avec le mouvement consumériste.

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Mefi : les membres du cabinet de Laurence Garnier

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Masaf : organigramme général du ministère

News Tank liste l’organigramme général du ministère d’Annie Genevard, ministre de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt, liste actualisée au 24/10/2024. 10 membres - cinq femmes et cinq hommes - sont directement rattachés à la ministre. 13 autres - huit hommes, cinq femmes - constituent le secrétariat général du Masaf. Les personnes rattachées directement à Annie Genevard : • le représentant du CGAAER ; • le chef du bureau du cabinet ; • en charge du contrôle budgétaire et comptable ministériel ; • des membres du collège de déontologie ; • un haut fonctionnaire de défense et de sécurité ; • un haut fonctionnaire en charge de l’égalité des droits Femmes/Hommes ; • un haut fonctionnaire au développement durable ; • un haut fonctionnaire en charge du handicap et de l’inclusion ; • un haut fonctionnaire en charge de la terminologie et de la langue française ; • un haut fonctionnaire au numérique agricole. Le secrétariat général du ministère est ainsi composé : • Secrétaire général et son adjoint ; • DGPE ; • DGAL ; • DGER ; • DGAMPA ; • Service des affaires financières sociales et logistique ; • Direction des affaires juridiques ; • Service de la statistique et de la prospective ; • Service des ressources humaines ; • Service du numérique ; • Délégation à l’information et à la communication ; • Délégation au pilotage et à la transformation.

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Masaf : organigramme général du ministère

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« Les accords de commerce ont globalement été favorables à la France » (Yann Ambach, DGDDI)

« La direction générale commerce de la Commission a négocié pour le compte de ses États membres 46 accords commerciaux conclus avec des pays ou des zones économiques, soit 80 pays, à l’exception notable de la Chine et des États-Unis, et ce, depuis la création de l’Union européenne. Dans l’ensemble, du Ceta, conclu en 2017 avec l’Amérique du Nord, à l’ACC, conclu avec le Royaume-Uni le 31/12/2020, tous ces accords ont été globalement positifs pour la balance commerciale française », a déclaré Yann Ambach, chef de bureau de la politique tarifaire et commerciale, à News Tank, au cours d’un entretien à la DGDDI (direction générale des douanes et des droits indirects), à Montreuil (Seine-Saint-Denis), le 19/11/2024. « Il est encore trop tôt pour calculer les retombées de l’APE (Accord de participation économique) conclu avec la Nouvelle-Zélande le 01/05/2024, mais les flux ont déjà augmenté de 20 %. Au moment où l’accord avec le Mercosur revient dans l’actualité, il ne faut pas perdre de vue que la Commission européenne ne négocie pas contre les intérêts de l’Union ; et que les États membres négocient également, paquet par paquet, en fonction des intérêts de leurs économies. Alors que l’on observe un fort ralentissement du multilatéralisme, consacré par les Accords de Marrakech en 1994 et la création de l’OMC, et qu’un nouve…

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« Les accords de commerce ont globalement été favorables à la France » (Yann Ambach, DGDDI)

« La direction générale commerce de la Commission a négocié pour le compte de ses États membres 46 accords commerciaux conclus avec des pays ou des zones économiques, soit 80 pays, à l’exception notable de la Chine et des États-Unis, et ce, depuis la création de l’Union européenne. Dans l’ensemble, du Ceta, conclu en 2017 avec l’Amérique du Nord, à l’ACC, conclu avec le Royaume-Uni le 31/12/2020, tous ces accords ont été globalement positifs pour la balance commerciale française », a déclaré Yann Ambach, chef de bureau de la politique tarifaire et commerciale, à News Tank, au cours d’un entretien à la DGDDI (direction générale des douanes et des droits indirects), à Montreuil (Seine-Saint-Denis), le 19/11/2024. « Il est encore trop tôt pour calculer les retombées de l’APE (Accord de participation économique) conclu avec la Nouvelle-Zélande le 01/05/2024, mais les flux ont déjà augmenté de 20 %. Au moment où l’accord avec le Mercosur revient dans l’actualité, il ne faut pas perdre de vue que la Commission européenne ne négocie pas contre les intérêts de l’Union ; et que les États membres négocient également, paquet par paquet, en fonction des intérêts de leurs économies. Alors que l’on observe un fort ralentissement du multilatéralisme, consacré par les Accords de Marrakech en 1994 et la création de l’OMC, et qu’un nouve…

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Biocoop : « Si la transition écologique n’est pas accompagnée, elle n’adviendra jamais » (Henri Godron)

« Oui, nous sommes sortis de la crise, nous retrouvons des niveaux très hauts, comme nous avons pu les avoir en 2021. En magasins bio, nous sortons la tête de l’eau, mais il faut rester prudent. En effet, des problèmes subsistent au niveau de la production. Le monde agricole s’est structuré sur un marché à +20 % et subit aujourd’hui une fracture », déclare Henri Godron, président de Biocoop, à News Tank, le 15/11/2024. Le président du distributeur spécialisé en produits biologiques explique que la sortie de crise est en cours pour la distribution, mais il s’inquiète davantage sur l’amont des filières et sur le risque que cela fait peser sur son approvisionnement français. Henri Godron en appelle au soutien des pouvoirs publics et au nécessaire accompagnement des filières biologiques. « Tout le monde scande la transition écologique. Très bien mais si la transition écologique n’est pas accompagnée, elle n’adviendra jamais. En tout cas, elle adviendra avec des dégâts monumentaux. L’Agence bio, les agences de l’eau, toutes les agences gouvernementales, toutes se voient déshabillées alors qu’il y a bien des outils collectifs qui ont des impacts significatifs », indique-t-il.

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Biocoop : « Si la transition écologique n’est pas accompagnée, elle n’adviendra jamais » (Henri Godron)

« Oui, nous sommes sortis de la crise, nous retrouvons des niveaux très hauts, comme nous avons pu les avoir en 2021. En magasins bio, nous sortons la tête de l’eau, mais il faut rester prudent. En effet, des problèmes subsistent au niveau de la production. Le monde agricole s’est structuré sur un marché à +20 % et subit aujourd’hui une fracture », déclare Henri Godron, président de Biocoop, à News Tank, le 15/11/2024. Le président du distributeur spécialisé en produits biologiques explique que la sortie de crise est en cours pour la distribution, mais il s’inquiète davantage sur l’amont des filières et sur le risque que cela fait peser sur son approvisionnement français. Henri Godron en appelle au soutien des pouvoirs publics et au nécessaire accompagnement des filières biologiques. « Tout le monde scande la transition écologique. Très bien mais si la transition écologique n’est pas accompagnée, elle n’adviendra jamais. En tout cas, elle adviendra avec des dégâts monumentaux. L’Agence bio, les agences de l’eau, toutes les agences gouvernementales, toutes se voient déshabillées alors qu’il y a bien des outils collectifs qui ont des impacts significatifs », indique-t-il.

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Climat : « Le bénéfice de l’action est bien supérieur à celui de l’inaction » (F. Baarsch)

« Lorsque nous avons analysé les données fournies par Météo France, nous nous sommes rendus compte que ce qui était de l’ordre de l’exceptionnel devient, de nos jours, si ce n’est une normalité, du moins quelque chose de beaucoup plus fréquent », déclare Florent Baarsch, fondateur et PDG de la société Finres, le 15/11/2024. Finres a publié, le 7/11/2024, une étude sur les conséquences du changement climatique sur la production agricole. Partant du constat de précipitations exceptionnelles en 2024 (+45 % à la normale de référence pour la période 1991-2020), l’étude établit que ce type de conditions météorologiques pourrait se généraliser dans les années à venir, avec des précipitations « excessives » en hausse de 20 à 30 % jusqu’en 2050 par rapport aux années 2000-2020. Le rapport émet également des propositions de mesures pour adapter les exploitations agricoles aux effets du changement climatique, établissant que chaque euro investi dans l’adaptation conduirait à un bénéfice de 1,4 €. « Le drainage est vraiment la solution qui vient le plus rapidement à l’esprit, eu égard à la situation qu’on a vécue en 2024. Quand on discute avec des agriculteurs qui ont une partie de leur exploitation drainée et une autre partie qui n’est pas drainée, ils le voient et observent par eux-mêmes la différence. De la même manière qu’un sol profo…

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Climat : « Le bénéfice de l’action est bien supérieur à celui de l’inaction » (F. Baarsch)

« Lorsque nous avons analysé les données fournies par Météo France, nous nous sommes rendus compte que ce qui était de l’ordre de l’exceptionnel devient, de nos jours, si ce n’est une normalité, du moins quelque chose de beaucoup plus fréquent », déclare Florent Baarsch, fondateur et PDG de la société Finres, le 15/11/2024. Finres a publié, le 7/11/2024, une étude sur les conséquences du changement climatique sur la production agricole. Partant du constat de précipitations exceptionnelles en 2024 (+45 % à la normale de référence pour la période 1991-2020), l’étude établit que ce type de conditions météorologiques pourrait se généraliser dans les années à venir, avec des précipitations « excessives » en hausse de 20 à 30 % jusqu’en 2050 par rapport aux années 2000-2020. Le rapport émet également des propositions de mesures pour adapter les exploitations agricoles aux effets du changement climatique, établissant que chaque euro investi dans l’adaptation conduirait à un bénéfice de 1,4 €. « Le drainage est vraiment la solution qui vient le plus rapidement à l’esprit, eu égard à la situation qu’on a vécue en 2024. Quand on discute avec des agriculteurs qui ont une partie de leur exploitation drainée et une autre partie qui n’est pas drainée, ils le voient et observent par eux-mêmes la différence. De la même manière qu’un sol profo…

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© Yoplait

Fiche personne

Gaël Durand

Directeur général de Yoplait France @ Yoplait

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Gaël Durand

Directeur général de Yoplait France @ Yoplait

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Bruno Bernard

Président @ Métropole de Lyon

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Bruno Bernard

Président @ Métropole de Lyon

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Henri Godron

Président @ Biocoop

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Henri Godron

Président @ Biocoop

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Fiche organisation

Région Centre-Val de Loire (Conseil régional du Centre-Val de Loire)

• Assemblée délibérante de la région Centre-Val de Loire • Création : 2016 • Départements : - Cher (18) - Eure-et-Loir (28) - Indre (36) - Indre-et-Loire (37) - Loir-et-Cher (41) - Loiret (45)• Superficie : 39 151 km² • Préfecture : Orléans• Population : 2 573 300 (Insee, 2021)• Budgets :- 1,8 Md€ (2024)- 1,796 Md€ (2023) • Président : François Bonneau, depuis 2007• Directrice régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt : Virginie Jorissen• Secrétariat Général : Anthony Demissy• Service régional de l’alimentation : Nicolas Fradin • Service régional de l’économie agricole et rurale, service Territorial FranceAgriMer : Lena Deniaud• Service régional de la forêt, du bois et de la biomasse : Jean-François Hauttecoeur• Contact : Kim Hamisultane, service communication• Tél. : 02 38 70 31 40/06 78 19 76 52

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Région Centre-Val de Loire (Conseil régional du Centre-Val de Loire)

• Assemblée délibérante de la région Centre-Val de Loire • Création : 2016 • Départements : - Cher (18) - Eure-et-Loir (28) - Indre (36) - Indre-et-Loire (37) - Loir-et-Cher (41) - Loiret (45)• Superficie : 39 151 km² • Préfecture : Orléans• Population : 2 573 300 (Insee, 2021)• Budgets :- 1,8 Md€ (2024)- 1,796 Md€ (2023) • Président : François Bonneau, depuis 2007• Directrice régionale de l’alimentation, de l’agriculture et de la forêt : Virginie Jorissen• Secrétariat Général : Anthony Demissy• Service régional de l’alimentation : Nicolas Fradin • Service régional de l’économie agricole et rurale, service Territorial FranceAgriMer : Lena Deniaud• Service régional de la forêt, du bois et de la biomasse : Jean-François Hauttecoeur• Contact : Kim Hamisultane, service communication• Tél. : 02 38 70 31 40/06 78 19 76 52

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Région Bretagne

• Assemblée délibérante de la région française Bretagne• Départements :- Côtes d’Armor (22)- Finistère (29)- Ille-et-Vilaine (35)- Morbihan (56) • Superficie : 27 208 km²• Préfecture : Rennes • Population : 3 394 600 (Insee, 2021)• Budgets primitifs : - 1,92 Md€ (2024)- 1,86 Md€ (2023)- 1,72 Md€ (2022)• Président : Loïg Chesnais-Girard• 3^e Vice-président agriculture, agroalimentaire et alimentation : Arnaud Lecuyer• 10ᵉ vice-présidente santé, eau et biodiversité : Delphine Alexandre• Contact : Emmanuel Sergent, direction de la communication• Tél. : 02 99 27 13 54

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• Assemblée délibérante de la région française Bretagne• Départements :- Côtes d’Armor (22)- Finistère (29)- Ille-et-Vilaine (35)- Morbihan (56) • Superficie : 27 208 km²• Préfecture : Rennes • Population : 3 394 600 (Insee, 2021)• Budgets primitifs : - 1,92 Md€ (2024)- 1,86 Md€ (2023)- 1,72 Md€ (2022)• Président : Loïg Chesnais-Girard• 3^e Vice-président agriculture, agroalimentaire et alimentation : Arnaud Lecuyer• 10ᵉ vice-présidente santé, eau et biodiversité : Delphine Alexandre• Contact : Emmanuel Sergent, direction de la communication• Tél. : 02 99 27 13 54

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Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT)

• Établissement public d’enseignement supérieur et de recherche dépendant du ministère en charge de l’Agriculture.• Création : 1828• Missions :- propose des formations axées sur les domaines de : la santé, l’hygiène, la médecine, la pharmacie et la chirurgie animale ; l’économie de l’élevage ; la production et le contrôle des produits et sous-produits animaux ; la relation entre les animaux, les humains et leur environnement et leur impact sur la santé publique.- participe au développement de la science par le biais de la recherche fondamentale, appliquée et clinique ;- mène des programmes de recherche, d’innovation et d’ingénierie dans les domaines de l’éducation et de la formation ;- contribue, en collaboration avec les agences compétentes, à la veille scientifique et technique, à l’innovation technologique et à la promotion des résultats de la recherche ;- participe à la diffusion de l’information scientifique et technique ; - contribue au développement de la coopération scientifique, technique et éducative internationale.• Chiffres clés (2023) :- Recherche : 14 unités en partenariat avec l’Inrae et l’Inserm- Étudiants : 904 en formation initiale - Personnels : 355- Enseignants chercheurs : 76• Directeur : Pierre Sans• Contact : Virginie Fernandez, responsable communication

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Ecole Nationale Vétérinaire de Toulouse (ENVT)

• Établissement public d’enseignement supérieur et de recherche dépendant du ministère en charge de l’Agriculture.• Création : 1828• Missions :- propose des formations axées sur les domaines de : la santé, l’hygiène, la médecine, la pharmacie et la chirurgie animale ; l’économie de l’élevage ; la production et le contrôle des produits et sous-produits animaux ; la relation entre les animaux, les humains et leur environnement et leur impact sur la santé publique.- participe au développement de la science par le biais de la recherche fondamentale, appliquée et clinique ;- mène des programmes de recherche, d’innovation et d’ingénierie dans les domaines de l’éducation et de la formation ;- contribue, en collaboration avec les agences compétentes, à la veille scientifique et technique, à l’innovation technologique et à la promotion des résultats de la recherche ;- participe à la diffusion de l’information scientifique et technique ; - contribue au développement de la coopération scientifique, technique et éducative internationale.• Chiffres clés (2023) :- Recherche : 14 unités en partenariat avec l’Inrae et l’Inserm- Étudiants : 904 en formation initiale - Personnels : 355- Enseignants chercheurs : 76• Directeur : Pierre Sans• Contact : Virginie Fernandez, responsable communication

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