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Articles en libre accès

Moratoire sur le soja au Brésil : enquête lancée contre les signataires, « un accord anticoncurrentiel »

Une procédure administrative est lancée depuis le 18/08/2025 par le Bureau du surintendant général du Conseil administratif de la défense économique du Brésil, contre les 32 associations et entreprises membres du Groupe de travail sur le soja, signataires du « moratoire sur le soja », dont l’Association brésilienne des industries d’huiles végétales et l’Association nationale brésilienne des exportateurs de céréales, annonçait le ministère de la Justice et de la Sécurité publique brésilien le 20/08/2025. Cette enquête fait suite à la plainte déposée par la Commission de l’agriculture, de l’élevage, de l’approvisionnement et du développement rural de la Chambre des députés brésilienne. Les signataires du moratoire s’engageaient à ne plus acheter de soja uniquement provenant de producteurs dont les terres cultivées étaient situées dans des régions déboisées du biome amazonien après 2008. Selon l’enquête, cela constitue un accord anticoncurrentiel entre entreprises concurrentes, nuisant ainsi aux exportations de soja. Il a donc été ordonné au groupe de travail de s’abstenir, de manière provisoire, de collecter, stocker, partager ou diffuser des informations commerciales relatives à la vente, la production ou l’achat de soja, et de réaliser des audits. Les membres du groupe doivent également s’abstenir de partager des rapports, des listes et des documents qui exploitent l’accord, en plus de retirer de leurs sites web les docum…

© D.R.

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Carrefour : reconduction d’Alexandre Bompard en tant que PDG proposé par le CA à la prochaine AG

Le conseil d’administration de Carrefour, réuni le 24/07/2025, a décidé de proposer à la prochaine Assemblée générale annuelle, prévue le 22/05/2026, le renouvellement du mandat d’Alexandre Bompard avec l’intention de le reconduire en tant que président-directeur général, annonce le groupe le 24/07/2025. Ce choix a été voté unanimement, sur proposition du comité de gouvernance. « Depuis son arrivée à la tête de Carrefour en juillet 2017, Alexandre Bompard et l’équipe qu’il a mise en place ont fait évoluer en profondeur le Groupe pour en faire le leader de la transition alimentaire pour tous, restaurer sa compétitivité et sa solidité financière et le positionner sur les enjeux d’avenir de la distribution : e-commerce, data, retail media et omnicanalité », indique Carrefour. Par ailleurs, le conseil d’administration charge Alexandre Bompard de présenter un nouveau plan stratégique créateur de valeur dont l’objectif sera d’inscrire le Groupe dans une trajectoire de croissance et de rentabilité encore supérieure.

© Lesage & Fils

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Lesage & Fils : investissement de 12 M€ pour 2025-2027 afin de tripler la capacité de production

12 M€ sur la période 2025-2027, tel est le montant de l’investissement lancé par Lesage & Fils, dans l’objectif de tripler sa production, accroître ses capacités de stockage et moderniser son outil industriel situé à Chemy (Nord), annonce l’entreprise de boucherie-charcuterie, spécialisée dans la transformation et la distribution de viandes haut de gamme, le 24/07/2025. Cet investissement permettra la construction d’une extension de 3 500 m², doublant ainsi la surface totale du site (7 000 m²), la centralisation de l’ensemble des activités de production dans un unique bâtiment et la modernisation des équipements industriels au service d’une meilleure performance énergétique, de la qualité et la sécurité alimentaire. Ces travaux débuteront en octobre 2025. La mise en service du nouveau site est prévue pour septembre 2027. « Ce projet s’inscrit dans une stratégie de développement durable, en cohérence avec les engagements RSE de l’entreprise. Lesage & Fils entend ainsi renforcer son ancrage territorial, créer de nouveaux emplois locaux et continuer à proposer des produits d’exception à ses clients tout en respectant les normes environnementales les plus exigeantes », indique l’entreprise. Lesage & Fils enregistre un chiffre d’affaires de 69 M€ en 2025.

© E.Pain-Région Bretagne

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PAC : « Un recul inacceptable pour notre souveraineté alimentaire » (Régions de France)

« La proposition budgétaire de la Commission est une provocation qui constitue un affaiblissement sans précédent pour cette politique fondatrice de l’Union. Avec une proposition à 294 Md€ sur sept ans, elle est en baisse d’environ 21 % par rapport à la période actuelle (2021-2027). En tenant compte du niveau élevé de l’inflation ces dernières années, il s’agirait même d’une baisse en termes réels d’environ 40 % du budget », déclare Régions de France, le 21/07/2025, en réaction à la présentation du projet de cadre budgétaire et de réforme de la PAC par la Commission européenne, le 16/07/2025. « Les Régions dénoncent l’intégration de la PAC dans un grand fonds « fourre-tout » dont la finalité ne semble être que de camoufler cette baisse énorme du budget. Elles se battront contre ce recul inacceptable qui met en danger notre capacité à nourrir durablement les Européens. » L’organisation indique s’inquiéter du « mouvement de renationalisation de la PAC qui devient à chaque réforme de moins en moins “commune” ». « La proposition de la Commission européenne est inacceptable. Dans un contexte où la souveraineté et l’autonomie alimentaire européennes sont d’importance majeure, le budget de la Politique Agricole Commune ne peut être une variable d’ajustement. Nous demandons à la Commission de revoir sa copie », déclare Loïg Chesnais-Girard, président de la commission Agriculture de Ré…

© AdobeStock

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Next Bite food event : prochaine édition les 15 et 16/10/2025 à Bruxelles (EIT Food)

L’événement alimentaire « Next Bite » aura lieu les 15 et 16/10/2025 à Bruxelles. Il est organisé par l’EIT Food, qui fait partie de l’Institut européen d’innovation et de technologie, et vise à construire un système alimentaire innovant et résilient. Sous le titre « Construire ensemble l’avenir de l’alimentation », l’événement rassemble des acteurs de l’industrie agroalimentaire du monde entier. Les principaux thèmes abordés sont « une vie plus saine grâce à l’alimentation », « un système alimentaire net-zéro » et « un système alimentaire équitable et résilient ». « L’événement Next Bite food est l’occasion d’obtenir une vue d’ensemble des innovations, tendances, politiques et leaders à venir dans l’espace agroalimentaire et de participer au mouvement visant à créer un système alimentaire adapté à l’avenir », déclare l’EIT Food.

© adobestock

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PPL « Contraintes » : Saisine du Conseil constitutionnel par les groupes Écologiste, LFI-NFP et GDR (AN)

Les groupes Écologiste et Social, La France insoumise - NFP, et Gauche démocrate et républicaine, saisissent le Conseil constitutionnel, le 11/07/2025, sur la proposition de loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, adoptée définitivement le 02/07 et le 08/07/2025, respectivement par le Sénat et l’Assemblée nationale. « Outre l’irrégularité de la procédure ayant conduit à son adoption, cette loi méconnaît plusieurs principes à valeur constitutionnelle : le droit de vivre dans un environnement équilibré et respectueux de la santé, le devoir de préservation de l’environnement, les principes de prévention, de précaution, de participation du public aux décisions environnementales, ainsi que le principe de non-régression. Elle porte ainsi atteinte aux garanties constitutionnelles en matière de protection de l’environnement et de droit à la santé », indiquent-ils dans le recours. Les députés soutiennent que l’usage de la motion de rejet préalable, adoptée par l’Assemblée nationale le 26/05/2025, a été détourné de son objet et que cela constitue une atteinte au droit constitutionnel d’amendement et au principe de clarté et de sincérité du débat parlementaire. Ils défendent également que le texte méconnaît plusieurs dispositions de la Charte de l’environnement, notamment relatives au principe de non-régression, au principe de prévention, au principe de précaution, sur l’objectif à valeur constitutionnelle de protection de…

© EU

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Sécurité alimentaire/UE : la première stratégie de l’UE en matière de constitution de stocks dévoilée

La Commission européenne dévoile sa « stratégie pour le stockage » visant à renforcer la préparation aux crises et la sécurité sanitaire, le 09/07/2025. Cette stratégie vise à sécuriser les biens essentiels, tels que les denrées alimentaires, l’eau, le pétrole, le carburant et les médicaments, en cas de crise. Il s’agit de la toute première approche globale de l’UE en matière de constitution de stocks. Les principales actions de la stratégie de constitution de stocks sont les suivantes : • mise en place d’un réseau de stockage de l’UE avec les États membres afin de partager les bonnes pratiques, de coordonner les stocks et d’élaborer des recommandations communes ; • recenser les lacunes et les doubles emplois en matière de stocks grâce au partage d’informations et au renforcement de la coopération entre les États membres et avec l’UE. • élargir les stocks au niveau de l’UE pour combler les lacunes en matière de biens essentiels, avec le soutien d’initiatives telles que rescEU pour les équipements médicaux, les abris, les générateurs, etc. • améliorer les transports et la logistique pour une réaction rapide aux crises. • promouvoir les partenariats civilo-militaires, publics-privés et internationaux afin de maximiser l’utilisation efficace et en temps voulu des ressources. « Dans le secteur des produits agroalimentaires, le mécanisme européen de préparation et de réponse aux cr…

© Assemblée nationale / Capture d'écran

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Loi Duplomb : réactions des syndicats et des associations

« Un premier pas pour relancer notre appareil de production agricole » pour la FNSEA et les JA ; « Un moment important et très attendu pour conforter le rôle des agriculteurs » pour La Coopérative agricole ; un texte qui « entérine des régressions agricoles, sanitaires et écologiques d’une très grande gravité, taillées sur mesure pour l’agro-industrie et portées par les dirigeants de la FNSEA » selon la Confédération paysanne ; « un jour noir pour la santé publique et l’environnement » pour Greenpeace ; ou encore « un déni de la parole scientifique, paysanne et citoyenne » pour le Collectif Nourrir, telles sont les premières réactions des principaux syndicats et associations environnementales à l’adoption définitive par le Parlement de la PPL dites « Contraintes » portée par les sénateurs Laurent Duplomb et Franck Ménonville, le 08/07/2025. Arnaud Rousseau, président de la FNSEA, et Pierrick Horel, président des JA, se satisfont que les promesses du gouvernement soient tenues, à travers l’adoption de ce texte, issu de la CMP. « Ce 8 juillet restera comme un moment charnière pour l’agriculture française. Aujourd’hui, l’ambition de souveraineté alimentaire sort enfin du discours pour entrer dans le droit. Les parlementaires ont pris leurs responsabilités. En votant ce texte, ils ont respecté les engagements pris et reconnu, par leur geste, l’urgence absolue de redonner à notre agriculture les moyens de se relever, de produire, et de…

© flickr

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UE : appel de 18 États membres en faveur d’une plus grande simplification du RDUE

« Nous demandons instamment à la Commission européenne d’inclure le règlement sur la déforestation dans ses plans de simplification afin de garantir une mise en œuvre coordonnée et efficace du RDUE dans l’ensemble de l’UE. Dans l’attente des propositions de simplification de la Commission, il pourrait être souhaitable de repousser encore la date d’application du règlement », écrivent 18 ministres de l’Agriculture de l’UE, dans une lettre conjointe envoyée à Christophe Hansen, commissaire à l’Agriculture et à l’Alimentation, et à Jessika Roswall, commissaire à l’Environnement, à la résilience de l’eau et à une économie circulaire compétitive, le 07/08/2025. L’Autriche, la Bulgarie, la Croatie, la République tchèque, l’Estonie, la Finlande, la Hongrie, l’Irlande, l’Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, la Pologne, le Portugal, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie et la Suède ont signé la lettre pour simplifier davantage le règlement sur la déforestation (EU/2023/1115). Ils demandent : • la suppression des exigences de diligence dans les pays où la surface forestière n’est pas réduite de manière significative par l’expansion agricole ; • la possibilité pour les pays désignés comme présentant un faible risque de déforestation de ne pas se conformer aux contrôles du RDUE, mais de s’appuyer sur les systèmes nationaux existants.

© Ophelie Loubat

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Emmaüs Solidarité : retour vers l’emploi en produisant des confitures et des biscuits

2 500 pots de confitures (à 4,95€) et 500 sachets de biscuits (à 3,99€) sous la marque Üni.es ont été produits et commercialisés depuis mars 2025 par l’association Emmaüs Solidarité dans des commerces parisiens partenaires, sur des marchés et dans les hôtels. Ils sont fabriqués dans une cuisine professionnelle, par des bénéficiaires d’Emmaüs Solidarité, sous la responsabilité d’une cheffe pâtissière. « Ces personnes sont donc passées de la rue et la précarité à un hébergement et un travail, pour retrouver une dignité et une place dans notre société » déclare Lotfi Ouanezar, DG d’Emmaüs Solidarité, à News Tank, le 25/06/2025. « C’est un projet pour insérer des personnes très éloignées de l’emploi mais aussi pour lutter contre le gaspillage alimentaire, collecter et produire localement et sensibiliser le grand public au sujet de la précarité en France. »

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Sélections

Récap de juillet 2025 : les actualités des secteurs agricole et agroalimentaire qu’il ne fallait pas rater

• Présentation par François Bayrou, Premier ministre, de ses orientations budgétaires pour le projet de loi de finances pour 2026, avec 43,8 Md€ d’économies prévues dans le cadre d’un plan pluriannuel de retour à l’équilibre pour atteindre, en 2029, 2,8 % de déficit contre 5,4 % prévu en 2025 ; • présentation également du budget pluriannuel de l’Union européenne par la Commission, ainsi que du projet de réforme pour la PAC avec 300 Md€ « sanctuarisés » pour les agriculteurs (vs 387 Md€ 2021-2027) et la fusion des deux piliers ; • adoption de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur puis saisine du Conseil constitutionnel, dont la décision est attendue le 07/08/2025 ; • détection de foyers épidémiques de la dermatose nodulaire contagieuse dans les départements de la Savoie et de la Haute-Savoie et lancement d’une campagne de vaccination obligatoire ; • début de la présidence danoise au Conseil de l’UE ; • création d’une nouvelle alliance européenne aux achats entre Coopérative U et Carrefour ; • mais aussi, publication des conclusions de la commission d’enquête du Sénat sur les missions des agences, opérateurs et organismes consultatifs de l’État, du rapport annuel de l’Autorité de la concurrence ainsi que des résultats de l’OFPM (Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires). Retrouvez l’essentiel des actualités de juillet 2025, semaine après semaine, à tra…

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Sélections

Récap de juillet 2025 : les actualités des secteurs agricole et agroalimentaire qu’il ne fallait pas rater

• Présentation par François Bayrou, Premier ministre, de ses orientations budgétaires pour le projet de loi de finances pour 2026, avec 43,8 Md€ d’économies prévues dans le cadre d’un plan pluriannuel de retour à l’équilibre pour atteindre, en 2029, 2,8 % de déficit contre 5,4 % prévu en 2025 ; • présentation également du budget pluriannuel de l’Union européenne par la Commission, ainsi que du projet de réforme pour la PAC avec 300 Md€ « sanctuarisés » pour les agriculteurs (vs 387 Md€ 2021-2027) et la fusion des deux piliers ; • adoption de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur puis saisine du Conseil constitutionnel, dont la décision est attendue le 07/08/2025 ; • détection de foyers épidémiques de la dermatose nodulaire contagieuse dans les départements de la Savoie et de la Haute-Savoie et lancement d’une campagne de vaccination obligatoire ; • début de la présidence danoise au Conseil de l’UE ; • création d’une nouvelle alliance européenne aux achats entre Coopérative U et Carrefour ; • mais aussi, publication des conclusions de la commission d’enquête du Sénat sur les missions des agences, opérateurs et organismes consultatifs de l’État, du rapport annuel de l’Autorité de la concurrence ainsi que des résultats de l’OFPM (Observatoire de la formation des prix et des marges des produits alimentaires). Retrouvez l’essentiel des actualités de juillet 2025, semaine après semaine, à tra…

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Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en juillet 2025

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en juillet 2025.

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Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en juillet 2025

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en juillet 2025.

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Sélections

Les nominations à retenir en juillet 2025

En plus de couvrir l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en juillet 2025.

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Sélections

Les nominations à retenir en juillet 2025

En plus de couvrir l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en juillet 2025.

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Dossier

Loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur

Le Conseil constitutionnel censure l’article 2 de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, qui permettait de déroger par décret à l’interdiction d’utiliser des produits phytopharmaceutiques contenant des néonicotinoïdes, dont l’acétamipride, le 07/08/2025. Trois saisines avaient été déposées par des députés des groupes Écologiste et Social, La France insoumise - NFP, Socialistes et apparentés et Gauche démocrate et républicaine, déposées les 11, 15 et 18/07/2025. Dans le même temps, une pétition citoyenne a été déposée sur le site de l’Assemblée nationale, le 10/07/2025, pour demander l’abrogation du texte. Elle a cumulé plus de 2 millions de signatures de Français. Un débat en séance publique est souhaité par Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale. L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté définitivement le texte issu de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, du sénateur Laurent Duplomb (Les Républicains) et du sénateur Franck Menonville (Union centriste), les 08/07 et 02/07/2025. Parmi les principales mesures adoptées, figurent : • le conseil stratégique phytosanitaire est rendu facultatif (article 1) ; • l’autorisation de mise en place de dérogations à l’interdiction de l’usage de néonicotinoïdes ou assimilés, dans la mesure où ceux-ci sont autorisés à l’échelle de l’UE, en cas de menace grave compromettant la production agricole, et sous le co…

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Dossier

Loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur

Le Conseil constitutionnel censure l’article 2 de la loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, qui permettait de déroger par décret à l’interdiction d’utiliser des produits phytopharmaceutiques contenant des néonicotinoïdes, dont l’acétamipride, le 07/08/2025. Trois saisines avaient été déposées par des députés des groupes Écologiste et Social, La France insoumise - NFP, Socialistes et apparentés et Gauche démocrate et républicaine, déposées les 11, 15 et 18/07/2025. Dans le même temps, une pétition citoyenne a été déposée sur le site de l’Assemblée nationale, le 10/07/2025, pour demander l’abrogation du texte. Elle a cumulé plus de 2 millions de signatures de Français. Un débat en séance publique est souhaité par Yaël Braun-Pivet, présidente de l’Assemblée nationale. L’Assemblée nationale et le Sénat ont adopté définitivement le texte issu de la commission mixte paritaire sur la proposition de loi visant à lever les contraintes à l’exercice du métier d’agriculteur, du sénateur Laurent Duplomb (Les Républicains) et du sénateur Franck Menonville (Union centriste), les 08/07 et 02/07/2025. Parmi les principales mesures adoptées, figurent : • le conseil stratégique phytosanitaire est rendu facultatif (article 1) ; • l’autorisation de mise en place de dérogations à l’interdiction de l’usage de néonicotinoïdes ou assimilés, dans la mesure où ceux-ci sont autorisés à l’échelle de l’UE, en cas de menace grave compromettant la production agricole, et sous le co…

© agriculture.gouv.fr

Data

Abattoirs : 1 856 inspections menées sur la protection animale en 2023 (+ 6,8 % vs 2022)

1 856, tel est le nombre total d’inspections réalisées au titre de la protection animale ayant conduit à la rédaction d’un rapport d’inspection dans les abattoirs français de boucherie et de volailles/lagomorphes au cours de l’année 2023, selon le rapport du plan national de contrôles officiels pluriannuel 2021-2025. C’est 658 inspections supplémentaires par rapport à 2017 (1 198, + 64,5 %) - l’année qui a suivi la dernière inspection généralisée demandée par Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture de l’époque - et 127 de plus qu’en 2022. Si le nombre d’inspections en abattoir de boucherie a globalement progressé (493 en 2017, 1 009 en 2023), le nombre d’inspections en abattoir de volailles/lagomorphes en 2023 (847) est revenu à son niveau de 2018 (852). Le taux de suites administratives prononcées en abattoir de boucherie a diminué de 6,1 points entre 2016 et 2023 (48,7 % vs 42,6 %), et a augmenté de 10,9 points en abattoir de volailles entre 2017 et 2023 (35,5 % vs 46,4 %). Devant la multiplication des enquêtes publiées par L214 mettant en cause des établissements d’abattage depuis 2016 (20 depuis 2016, dont trois en 2025), l’OABA, le CIWF France, Welfarm et les fondations Brigitte Bardot, 30 millions d’amis et Droit animal, éthique et sciences demandaient une inspection généralisée “protection animale” des abattoirs…

© agriculture.gouv.fr

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Abattoirs : 1 856 inspections menées sur la protection animale en 2023 (+ 6,8 % vs 2022)

1 856, tel est le nombre total d’inspections réalisées au titre de la protection animale ayant conduit à la rédaction d’un rapport d’inspection dans les abattoirs français de boucherie et de volailles/lagomorphes au cours de l’année 2023, selon le rapport du plan national de contrôles officiels pluriannuel 2021-2025. C’est 658 inspections supplémentaires par rapport à 2017 (1 198, + 64,5 %) - l’année qui a suivi la dernière inspection généralisée demandée par Stéphane Le Foll, ministre de l’Agriculture de l’époque - et 127 de plus qu’en 2022. Si le nombre d’inspections en abattoir de boucherie a globalement progressé (493 en 2017, 1 009 en 2023), le nombre d’inspections en abattoir de volailles/lagomorphes en 2023 (847) est revenu à son niveau de 2018 (852). Le taux de suites administratives prononcées en abattoir de boucherie a diminué de 6,1 points entre 2016 et 2023 (48,7 % vs 42,6 %), et a augmenté de 10,9 points en abattoir de volailles entre 2017 et 2023 (35,5 % vs 46,4 %). Devant la multiplication des enquêtes publiées par L214 mettant en cause des établissements d’abattage depuis 2016 (20 depuis 2016, dont trois en 2025), l’OABA, le CIWF France, Welfarm et les fondations Brigitte Bardot, 30 millions d’amis et Droit animal, éthique et sciences demandaient une inspection généralisée “protection animale” des abattoirs…

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Abattoirs : « La décapitalisation explique les difficultés des abattoirs » (Thierry Benoît, Horizons)

« La principale explication des difficultés économiques des abattoirs est la décapitalisation des cheptels. Pendant une trentaine d’années, les éleveurs faisaient beaucoup d’heures et ils avaient un revenu moyen, au regard des astreintes et du nombre d’heures travaillées. La politique agricole commune était alors ce qui les soutenait. On ne peut pas dire qu’ils tiraient un revenu décent de leur métier. S’il y a des élevages performants, compétitifs, en nombre, alors il y aura inévitablement les outils d’abattage en proximité. », déclare Thierry Benoît, député (Horizons et Indépendants) d’Ille-et-Vilaine et co-rapporteur de la mission d’information sur les problématiques économiques de l’abattage dans le contexte de réduction des cheptels, à News Tank, le 04/08/2025. « Je pensais, au départ de la mission, qu’il y aurait un modèle qui brillerait par sa résistance ou sa résilience. Si le modèle de l’abattoir privé est compétitif, avec un gros outil performant, des cadences, des volumes, on voit que finalement, le bon modèle est celui sous forme de SIC. De gros outils qui côtoient des outils de proximité, qui peuvent être des outils privés, ou des outils publics, le tout géré par une société d’intérêt collectif, avec différents collèges : celui des élus, des producteurs, des bouchers, et des consommateurs. Cela peut fonctionner, mais ce n’est pas le modèle dominan…

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Abattoirs : « La décapitalisation explique les difficultés des abattoirs » (Thierry Benoît, Horizons)

« La principale explication des difficultés économiques des abattoirs est la décapitalisation des cheptels. Pendant une trentaine d’années, les éleveurs faisaient beaucoup d’heures et ils avaient un revenu moyen, au regard des astreintes et du nombre d’heures travaillées. La politique agricole commune était alors ce qui les soutenait. On ne peut pas dire qu’ils tiraient un revenu décent de leur métier. S’il y a des élevages performants, compétitifs, en nombre, alors il y aura inévitablement les outils d’abattage en proximité. », déclare Thierry Benoît, député (Horizons et Indépendants) d’Ille-et-Vilaine et co-rapporteur de la mission d’information sur les problématiques économiques de l’abattage dans le contexte de réduction des cheptels, à News Tank, le 04/08/2025. « Je pensais, au départ de la mission, qu’il y aurait un modèle qui brillerait par sa résistance ou sa résilience. Si le modèle de l’abattoir privé est compétitif, avec un gros outil performant, des cadences, des volumes, on voit que finalement, le bon modèle est celui sous forme de SIC. De gros outils qui côtoient des outils de proximité, qui peuvent être des outils privés, ou des outils publics, le tout géré par une société d’intérêt collectif, avec différents collèges : celui des élus, des producteurs, des bouchers, et des consommateurs. Cela peut fonctionner, mais ce n’est pas le modèle dominan…

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Mesures miroirs : « L’argument compétitivité n’est pas entendable au regard du droit de l’OMC » (M. Colli)

« La réciprocité a du sens sur certaines mesures qui se justifient facilement en matière de protection de la santé, de l’environnement. On ne peut pas juste dire qu’on veut des mesures miroirs parce qu’on veut des agriculteurs compétitifs. L’argument compétitivité n’est pas entendable au regard du droit de l’OMC. Les agriculteurs y voient un moyen de se protéger, et ils ont raison. Mais ce n’est vraiment pas ça qu’il faut mettre en avant, sinon, on n’a pas beaucoup de crédibilité vis-à-vis de nos partenaires commerciaux. Il ne faut pas s’amuser à justifier ces mesures miroirs par des arguments économiques. Il faut que la mesure soit proportionnée à l’objectif visé, justifiée par un objectif d’intérêt public en matière de protection de la santé, de l’environnement ou de conservation des ressources naturelles », déclare Marine Colli, consultante indépendante, spécialiste des politiques publiques agricoles et de commerce international, à l’origine du rapport « La réciprocité des normes de production agricole dans les échanges commerciaux internationaux », à News Tank, le 16/07/2025. Ce rapport est tiré du dialogue organisé entre filières agricoles, ONG et experts le 04/06/2025, par les eurodéputés Benoît Cassart, Charles Goerens, Eric Sargiacomo et Camilla Laureti. Il aborde l’enjeu stratégique de réciprocité des normes pour l’UE, les instruments juridiques dont elle dispose, les conditions de c…

© Marine Colli

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Mesures miroirs : « L’argument compétitivité n’est pas entendable au regard du droit de l’OMC » (M. Colli)

« La réciprocité a du sens sur certaines mesures qui se justifient facilement en matière de protection de la santé, de l’environnement. On ne peut pas juste dire qu’on veut des mesures miroirs parce qu’on veut des agriculteurs compétitifs. L’argument compétitivité n’est pas entendable au regard du droit de l’OMC. Les agriculteurs y voient un moyen de se protéger, et ils ont raison. Mais ce n’est vraiment pas ça qu’il faut mettre en avant, sinon, on n’a pas beaucoup de crédibilité vis-à-vis de nos partenaires commerciaux. Il ne faut pas s’amuser à justifier ces mesures miroirs par des arguments économiques. Il faut que la mesure soit proportionnée à l’objectif visé, justifiée par un objectif d’intérêt public en matière de protection de la santé, de l’environnement ou de conservation des ressources naturelles », déclare Marine Colli, consultante indépendante, spécialiste des politiques publiques agricoles et de commerce international, à l’origine du rapport « La réciprocité des normes de production agricole dans les échanges commerciaux internationaux », à News Tank, le 16/07/2025. Ce rapport est tiré du dialogue organisé entre filières agricoles, ONG et experts le 04/06/2025, par les eurodéputés Benoît Cassart, Charles Goerens, Eric Sargiacomo et Camilla Laureti. Il aborde l’enjeu stratégique de réciprocité des normes pour l’UE, les instruments juridiques dont elle dispose, les conditions de c…

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Eau : « L’enjeu très fort, ce sont les 60 captages prioritaires » (I. Matykowski, Agence Artois-Picardie)

« Le bassin Artois-Picardie est un bassin très agricole, où plus de 70 % de la surface est occupée par l’agriculture. Nous sommes aussi un bassin très industriel avec également une forte densité urbaine, la deuxième après la région Île-de-France. L’agriculture de notre bassin est une agriculture à forte plus-value basée sur des grandes cultures : blé, betteraves, céréales, légumes, pommes de terre. L’implantation de nouvelles industries agroalimentaires, notamment de transformation de pommes de terre entraîne des évolutions importantes sur les assolements dans un contexte où, sur certains secteurs à enjeu, il faut être en capacité de préserver les prairies et les zones humides, mais également éviter l’érosion des sols dans un territoire qui a durement été touché par les inondations récemment », déclare Isabelle Matykowski, directrice générale de l’Agence de l’eau Artois-Picardie, à News Tank, le 15/07/2025. Les six agences de l’eau françaises ont débuté leur 12^e programme d’intervention, le 01/01/2025. S’étalant sur six ans, il ambitionne de répondre à des besoins en quantité d’eau toujours plus prégnants, liés à l’accélération du changement climatique et de ses conséquences. Figurant parmi les bénéficiaires des aides versées par les agences de l’eau, les agriculteurs sont notamment encouragés à utiliser des procédés de production plus sobres et respectueux de l…

© D.R.

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Eau : « L’enjeu très fort, ce sont les 60 captages prioritaires » (I. Matykowski, Agence Artois-Picardie)

« Le bassin Artois-Picardie est un bassin très agricole, où plus de 70 % de la surface est occupée par l’agriculture. Nous sommes aussi un bassin très industriel avec également une forte densité urbaine, la deuxième après la région Île-de-France. L’agriculture de notre bassin est une agriculture à forte plus-value basée sur des grandes cultures : blé, betteraves, céréales, légumes, pommes de terre. L’implantation de nouvelles industries agroalimentaires, notamment de transformation de pommes de terre entraîne des évolutions importantes sur les assolements dans un contexte où, sur certains secteurs à enjeu, il faut être en capacité de préserver les prairies et les zones humides, mais également éviter l’érosion des sols dans un territoire qui a durement été touché par les inondations récemment », déclare Isabelle Matykowski, directrice générale de l’Agence de l’eau Artois-Picardie, à News Tank, le 15/07/2025. Les six agences de l’eau françaises ont débuté leur 12^e programme d’intervention, le 01/01/2025. S’étalant sur six ans, il ambitionne de répondre à des besoins en quantité d’eau toujours plus prégnants, liés à l’accélération du changement climatique et de ses conséquences. Figurant parmi les bénéficiaires des aides versées par les agences de l’eau, les agriculteurs sont notamment encouragés à utiliser des procédés de production plus sobres et respectueux de l…

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© FNSEA

Fiche personne

Xavier Jamet

Directeur du cabinet de Sophie Primas @ Porte-parole du Gouvernement

© FNSEA

Fiche personne

Xavier Jamet

Directeur du cabinet de Sophie Primas @ Porte-parole du Gouvernement

© D.R.

Fiche personne

Arnaud Metterie

Président du conseil de surveillance @ Roullier

© D.R.

Fiche personne

Arnaud Metterie

Président du conseil de surveillance @ Roullier

© E.Pain-Région Bretagne

Fiche personne

Loïg Chesnais-Girard

Président de la commission Agriculture, alimentation forêt, pêche @ Régions de France • Président @ Région Bretagne

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Loïg Chesnais-Girard

Président de la commission Agriculture, alimentation forêt, pêche @ Régions de France • Président @ Région Bretagne

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Fiche organisation

Comité économique et social européen

Le Cese est un organe consultatif de l’Union européenne qui offre aux représentants des milieux socioprofessionnels et d’autres organisations en Europe une plateforme officielle où ils peuvent exprimer leurs points de vue sur les questions européennes. Il émet entre 160 et 190 avis et rapports d’information par an. Missions : • contribuer à ce que les politiques et la législation européennes soient mieux adaptées aux réalités économiques, sociales et civiques en assistant le Parlement européen, le Conseil et la Commission européenne grâce à l’expérience de ses membres, leur représentativité, le dialogue et la recherche du consensus en privilégiant l’intérêt général ; • favoriser le développement d’une Union européenne plus participative et plus proche des citoyens ; • promouvoir les valeurs qui constituent le fondement de la construction européenne. Membres : 350 membres pour 5 ans répartis en 3 groupes (employeurs, travailleurs, diversité Europe) Président : Luca Jahier Contact : +32 (0)2 546 90 11

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Fiche organisation

Comité économique et social européen

Le Cese est un organe consultatif de l’Union européenne qui offre aux représentants des milieux socioprofessionnels et d’autres organisations en Europe une plateforme officielle où ils peuvent exprimer leurs points de vue sur les questions européennes. Il émet entre 160 et 190 avis et rapports d’information par an. Missions : • contribuer à ce que les politiques et la législation européennes soient mieux adaptées aux réalités économiques, sociales et civiques en assistant le Parlement européen, le Conseil et la Commission européenne grâce à l’expérience de ses membres, leur représentativité, le dialogue et la recherche du consensus en privilégiant l’intérêt général ; • favoriser le développement d’une Union européenne plus participative et plus proche des citoyens ; • promouvoir les valeurs qui constituent le fondement de la construction européenne. Membres : 350 membres pour 5 ans répartis en 3 groupes (employeurs, travailleurs, diversité Europe) Président : Luca Jahier Contact : +32 (0)2 546 90 11

© Bayer

Fiche organisation

Bayer Monde (Bayer)

• Groupe pharmaceutique et agrochimique allemand, développant solutions et produits innovants qui protègent les humains et les cultures.• Création : 1863• Activités : - Trois divisions : Pharmaceuticals, Consumer Health, Crop Science• Chiffres clés :- Effectif : 99 700 salariés - Chiffres d’affaires : 47,6 Md€ (2023)- Filiales : 354 filiales dans 83 pays• Président du directoire : Bill Anderson• Contact : Virginie Chevallier - Bayer Crop Science Responsable communication • Tél. : 06 45 70 32 58

© Bayer

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Bayer Monde (Bayer)

• Groupe pharmaceutique et agrochimique allemand, développant solutions et produits innovants qui protègent les humains et les cultures.• Création : 1863• Activités : - Trois divisions : Pharmaceuticals, Consumer Health, Crop Science• Chiffres clés :- Effectif : 99 700 salariés - Chiffres d’affaires : 47,6 Md€ (2023)- Filiales : 354 filiales dans 83 pays• Président du directoire : Bill Anderson• Contact : Virginie Chevallier - Bayer Crop Science Responsable communication • Tél. : 06 45 70 32 58

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Eliance Fédération (Eliance)

• Fédération française des entreprises de conseil et service en élevage, au service des coopératives et entreprises• Création : 2022• Mission : - proposer des services et des outils qui positionnent le revenu et les produits de l’éleveur en tête des enjeux d’un élevage performant et durable ; - développer une activité R&D proactive pour maintenir la compétitivité et l’avance technologique des adhérents avec l’appui de la fédération et le renforcement des partenariats ; - augmenter le potentiel de responsabilité économique et social des entreprises ; - développer l’attractivité du réseau et des métiers de la génétique, de la reproduction, du conseil en élevage. • Chiffres-clé : 113 entreprises sociétaires, 80 000 éleveurs en insémination, • Président : Dominique• Directeur : Cyril Cabrol • Contact : Service communication • Tél. : 01 81 72 16 80

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Eliance Fédération (Eliance)

• Fédération française des entreprises de conseil et service en élevage, au service des coopératives et entreprises• Création : 2022• Mission : - proposer des services et des outils qui positionnent le revenu et les produits de l’éleveur en tête des enjeux d’un élevage performant et durable ; - développer une activité R&D proactive pour maintenir la compétitivité et l’avance technologique des adhérents avec l’appui de la fédération et le renforcement des partenariats ; - augmenter le potentiel de responsabilité économique et social des entreprises ; - développer l’attractivité du réseau et des métiers de la génétique, de la reproduction, du conseil en élevage. • Chiffres-clé : 113 entreprises sociétaires, 80 000 éleveurs en insémination, • Président : Dominique• Directeur : Cyril Cabrol • Contact : Service communication • Tél. : 01 81 72 16 80

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