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© Carrefour Brésil

Articles en libre accès

Carrefour : acquisition de 100 % du capital de Carrefour Brésil en vue

Carrefour prévoit d’acquérir les actions détenues par les actionnaires minoritaires de sa filiale brésilienne, Carrefour Brésil, et de la retirer de la bourse de São Paulo par le biais d’une fusion d’actions, annonce le distributeur le 12/02/2025. Carrefour détient actuellement 67,4 % de Carrefour Brésil et a décidé d’augmenter sa participation à 100 %. Peninsula, deuxième actionnaire de Carrefour Brésil, convertira l’intégralité de ses actions brésiliennes en actions du groupe Carrefour. La réalisation de cette transaction reste notamment soumise à l’approbation des actionnaires minoritaires de Carrefour Brésil composant le flottant à l’occasion d’une assemblée générale extraordinaire des actionnaires de Carrefour Brésil, qui se tiendra au cours du deuxième trimestre 2025. Si elle est approuvée, la transaction devrait être finalisée avant la fin du deuxième trimestre 2025. « Cette opération marque une étape majeure dans la consolidation de notre leadership au Brésil, où nous nous développons avec un modèle commercial extrêmement compétitif et grâce à une série d’acquisitions ciblées », déclare Alexandre Bompard, PDG du groupe Carrefour.

© Cavac

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Cavac : 300 000 € versés aux éleveurs bovins les plus engagés pour faire face aux aléas climatiques

Le comité du groupement Bovineo de la coopérative Cavac (Vendée) reverse une enveloppe de 300 000 € destinée aux éleveurs de jeunes bovins de race à viande les plus engagés avec le groupement pour faire face aux conditions météorologiques particulièrement mauvaises depuis octobre 2023, indique la Cavac le 11/02/2025. « Ce versement, issu de la caisse de sécurisation de Bovineo, viendra en soutien de la trésorerie des systèmes de production en polyculture-élevage, dans un contexte où la gestion des ressources fourragères devient plus complexe suite aux aléas pédoclimatiques », indique la Cavac. 332 éleveurs, hors contrat de production à marge garantie, seront bénéficiaires d’un versement de complément de prix, pour un montant moyen par éleveur de 903 €. « Cette initiative s’inscrit dans la continuité de ce qui est mis en place depuis 10 ans par notre groupement Bovineo pour accompagner les installations : mise en place du plan Avenir Elevage (garantie de débouchés, accompagnement financier, prêt à taux préférentiel, suivi technico-économique, etc), la création de la dotation Élevage Cavac lancée en 2022 (financement direct pouvant atteindre 15 000 euros d’aide à l’installation), contribution au fonds de dotation « Elevons pour l’avenir » en 2023 visant à accompagner l’installation des futurs éleveurs bovins afin d’enrayer le non renouvellement des générations, un enjeu capital sur nos territoires. Outre l’aspect économique, la pérennit…

© Michel Viard/iStockphoto

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Cristal Union : accord conclu pour l’acquisition de la sucrerie Lesaffre Frères à Nangis

Cristal Union, via sa holding Cristal Financière, a conclu un accord avec la famille Lesaffre pour l’acquisition de 100 % de la Société de Participations Industrielles détenant une participation majoritaire dans la société Lesaffre Frères, et donc de sa sucrerie à Nangis (Seine-et-Marne), annonce le groupe coopératif le 05/02/2025. « Ce nouvel ensemble permettra de pérenniser durablement la culture de la betterave dans le sud du Bassin parisien, tout en renforçant le dispositif industriel de Cristal Union. Le positionnement géographique de la sucrerie de Nangis et de son bassin betteravier est un réel atout pour étendre les activités du groupe dans le sud de Paris », indique Cristal Union. Créée en 1873, la sucrerie familiale de Nangis compte 110 salariés, elle transforme environ 600 000 tonnes de betteraves par an livrées par 330 planteurs qui cultivent plus de 8 000 hectares de betteraves. L’activité de la sucrerie sera maintenue avec ses effectifs et la commercialisation des produits restera assurée par Cristalco, la filiale commerciale de Cristal Union, comme c’est le cas depuis 2006. « Sur le plan commercial, Lesaffre Frères collabore avec Cristal Union depuis vingt ans, et nous avons toujours travaillé dans la confiance réciproque et le respect mutuel. Cette cession par la famille Lesaffre de sa sucrerie à Cristal Union est un…

© News Tank

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RHD : Fédalis renommée Les Grossistes alimentaires de France

Fédalis change de nom et d’identité visuelle pour devenir Les Grossistes alimentaires de France, annoncent le président Jacques Déronzier, et les deux vice-présidents Pascal Peltier et Yves Cebron de Lisle, le 04/02/2025, lors d’une soirée organisée pour l’occasion à laquelle News Tank était présent. Finis les acronymes, la fédération des distributeurs alimentaires spécialisés mise sur une identité « impactante » pour renforcer sa visibilité. « Nous devons nous faire connaître, parce que notre métier est peu connu et pas assez reconnu. Ce nouveau nom va nous donner de la lisibilité et de la visibilité à ce qu’on fait. Il va nous aider pour être un acteur majeur et impactant, pour valoriser et mieux coordonner l’ensemble des entreprises que nous représentons », déclare Pascal Peltier. « Nous avons le sentiment d’un déséquilibre entre notre image et notre rôle. Nous, grossistes, nous sommes un maillon invisible. Invisible, parce que méconnu des institutionnels et de la société civile. Nous sommes dans le BtoB, du professionnel au professionnel. Nous sommes coincés dans une filière où d’autres organisations professionnelles sont très actives et occupent une part importante de l’espace médiatique : à l’amont, il y a les syndicats agricoles et de l’agroalimentaire ; à l’aval, les syndicats de la restauration et des métiers de bouches », déclare Jacques Déronzier.…

© News Tank

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SIA 2025 : « Se projeter dans une ère de reconquête, le salon du rebond » (Annie Genevard)

« Le Salon international de l’agriculture 2025 n’est pas un salon comme un autre, il arrive après une année terrible et de longs mois durant lesquels les producteurs ont crié leur désarroi. Le Salon doit être un moment de respiration. Il nous faut réarmer notre puissance alimentaire. Cela s’impose comme une urgence. Je prends cela comme une mission régalienne », a déclaré Annie Genevard, ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, le 04/02/2025 lors de la présentation de l’édition 2025 du Salon international de l’agriculture, qui ouvrira ses portes du 22/02/2025 au 02/03/2025, porte de Versailles à Paris. « Un pays doit pouvoir nourrir sa population. Nous sommes en défaut de production qui nous met en risque. il faut réhabiliter l’acte de production. Ce doit être le premier salon de son rebond. Nous devons nouer et renouer le dialogue et se projeter dans une ère de reconquête. Il doit y avoir un nouveau pacte sociale entre la nation et ses agriculteurs. Je m’installerai au Salon toute la semaine avec mes équipes », indique la ministre. Cette édition 2025 est placée sous le signe de « L’Agriculture, cette fierté française ! ». « L’agriculture est une fierté française, qui ne vit pas toujours ses meilleurs jours. Il faut lui redonner enfin des perspectives. Il est temps de releve…

© sylvain leurent / Hectar

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Hectar : création d’un chatbot IA dédié aux agriculteurs, lancement en septembre 2025

Accompagner les agriculteurs dans leurs décisions et la gestion quotidienne de leur ferme, tel est l’objectif principal du nouvel assistant virtuel, un chatbot basé sur l’IA, créé par Hectar, établissement d’enseignement supérieur privé spécialisé dans la formation aux métiers agricoles et de reprise d’exploitation fondé par Xavier Niel et Audrey Bourolleau, annonce-t-il le 03/02/2025. Cet outil, développé en collaboration avec les agriculteurs partenaires d’Hectar, sera déployé en septembre 2025, dans un premier temps sur la ferme pilote du réseau Hectar. Considéré comme une plateforme ouverte, il réunit des chatbot sur des thématiques agricoles prioritaires, sélectionnées au préalable par les agriculteurs, dans les domaines de la surcharge administrative, la transmission, de nouveaux ateliers ou encore le recrutement. L’outil sera adaptable en fonction des besoins spécifiques de l’agriculteur. « Tout comme l’industrie et les services, l’agriculture doit s’approprier l’intelligence artificielle et en faire un facteur de compétitivité majeur », déclare Xavier Niel. « Nous voulons prouver que l’intelligence artificielle peut apporter une valeur concrète aux agriculteurs, en les aidant à gagner du temps pour les tâches répétitives et à réduire leur charge mentale. Ils pourront ainsi réellement se concentrer sur leur expertise et s’engager pleinement dans la transition agricole », indiquent Audrey Bourolleau, co-fondatrice et Francis Nappez, directeur général d’Hectar.…

© D.R.

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Influenza aviaire : premier décès humain dans l’État de Louisiane, aux États-Unis

Le ministère de la Santé de l’État de Louisiane, aux États-Unis, a annoncé le décès d’un patient atteint d’influenza aviaire hautement pathogène, ou H5N1, le 06/01/2025. L’homme âgé de plus de 65 ans, hospitalisé depuis décembre 2024, souffrait de « problèmes de santé sous-jacents », indique l’administration. Cette dernière précise également qu’il avait « contracté le virus après avoir été exposé à une combinaison d’oiseaux provenant d’un élevage non commercial et d’oiseaux sauvages ». L’enquête approfondie de santé publique menée par les autorités sanitaires n’a, pour l’heure, identifié aucun cas supplémentaire de H5N1, ni aucune preuve de transmission interhumaine. « Bien que le risque actuel pour la santé publique pour le grand public reste faible, les personnes qui travaillent avec des oiseaux, de la volaille ou des vaches, ou qui y sont exposées à des fins récréatives, courent un risque plus élevé », déclare le ministère de la Santé de Louisiane. Au total, 66 cas humains ont été signalés dans sept états du pays, dont 37 en Californie, où l’état d’urgence a été déclaré par le gouverneur Gavin Newsom, le 18/12/2024.

© Fab5669

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Lactalis : règlement de 475 M€ au fisc français pour un différend sur des opérations de financement

Lactalis a réglé 475 M€ au fisc français pour clore un différend portant sur des opérations internationales de financement, a fait savoir le groupe laitier le 19/12/2024. Ce différend concerne trois filiales en Belgique et au Luxembourg. Créées en 2006, elles avaient pour objectif de financer le développement de Lactalis à l’international. Le fisc français estime que ces opérations auraient dû être fiscalisées en France. « Le groupe a coopéré pleinement avec l’administration française tout au long de la procédure initiée en 2019 », a indiqué Lactalis. Ces opérations ont été clôturées, « depuis plusieurs années », d’après le groupe. Le parquet national financier a diligenté une enquête préliminaire pour fraude fiscale aggravée et blanchiment de fraude fiscale aggravée, concernant ces mêmes faits. Elle est toujours en cours. Lactalis et le domicile d’Emmanuel Besnier, PDG du groupe, avaient été perquisitionnés le 06/02/2024, dans le cadre de cette enquête. Les sommes susceptibles d’avoir été éludées sont « évaluées à ce stade à plusieurs centaines de millions d’euros », selon une source judiciaire.

© agriculture.gouv.fr

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Crise agricole : disponibilité des prêts de soutien à la trésorerie

Les prêts à taux bonifiés de moyen terme pour soutenir les trésoreries des exploitations agricoles et relancer la prochaine campagne agricole commencent à être déployés, a annoncé le ministère de l’Agriculture, de la Souveraineté alimentaire et de la Forêt le 12/12/2024. La ministre démissionnaire, Annie Genevard, a assisté ce même jour à la signature du premier prêt conjoncturel avec un jeune agriculteur installé à Jaulzy, dans l’Oise. Pour les agriculteurs ayant perdu plus de 20 % de leur chiffre d’affaires cette année, le coût de ces prêts diminuera pour atteindre un taux d’intérêt maximum de 1,50 % pour les jeunes installés, et de 1,75 % pour les autres, grâce à une bonification supplémentaire octroyée par l’État. Le montant de ce prêt est plafonné à 50 000 € par exploitation. Des aides plus structurelles seront également mises en place dans les semaines qui viennent pour donner accès à des prêts garantis gratuitement à 70 % par Bpifrance sur une période allant jusqu’à douze ans pour consolider la dette des exploitations souffrant de crises climatiques et économiques répétées. « L’agriculture française souffre de crises multiples et convergentes avec des attaques sanitaires et des récoltes et vendanges historiquement basses, qui sont des conséquences directes et indirectes du changement climatique. Beaucoup d’exploitants doivent faire face à des difficultés de trésorerie qui p…

© News Tank

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Mercosur : « Qui va payer l’addition ? » (FWA, Copa-Cogeca, Fugea)

« Qui va payer l’addition ? » : tel était le mot d’ordre de la mobilisation organisée le 09/12/2024 à Bruxelles par le Copa-Cogeca, présente sur place avec les principaux présidents de filières, avec l’appui de différentes organisations du secteur agricole, dont la Fédération Wallonne des Agriculteurs (FWA), la Fugea, et le BoerenBond (association des agriculteurs flamands). Les dirigeants d’association et de syndicats, ainsi que des personnalités politiques, eurodéputés, irlandaises ou belges, se sont succédé à la tribune, afin de dénoncer la signature du traité de libre-échange avec le Mercosur, par Ursula von der Leyen, présidente de la Commission européenne, le 06/12/2024, à Montevideo (Uruguay). News Tank livre une sélection des discours tenus à la tribune.

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© D.R.

Sélections

Les nominations à retenir en janvier 2025

En plus de couvrir l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en janvier 2025.

© D.R.

Sélections

Les nominations à retenir en janvier 2025

En plus de couvrir l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro publie quotidiennement les nominations et mouvements des professionnels de l’agriculture et de l’agroalimentaire, tous secteurs et domaines confondus. Voici une sélection des nominations publiées en janvier 2025.

© FNPL

Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en janvier 2025

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en janvier 2025.

© FNPL

Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en janvier 2025

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique du secteur, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en janvier 2025.

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Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en décembre 2024

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en décembre 2024.

© Ville de Paris

Sélections

Les entretiens parus sur News Tank Agro en décembre 2024

Outre sa couverture quotidienne de l’actualité économique, politique et stratégique, News Tank Agro donne régulièrement la parole aux professionnels et décideurs des filières agricole et agroalimentaire pour apporter une information complète et dense aussi bien que des visions inspirantes. Voici une sélection d’interviews et d’entretiens parus dans tous les domaines couverts par News Tank Agro en décembre 2024.

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Dossier

Élections 2025 chambres d’agriculture : mode d’emploi et positions des syndicats

À partir du 07/01/2025, et jusqu’au 31/01/2025, se tiennent les élections des chambres d’agriculture partout en France, afin de désigner, pour six ans, les membres des 87 chambres départementales, interdépartementales et territoriales d’agriculture et des deux chambres d’agriculture de région Ile-de-France et Corse. Des dispositions sont en cours d’élaboration pour reporter la tenue de ce scrutin à Mayotte, gravement touchée par le cyclone Chido le 14/12/2024. Ce scrutin rassemble plus de 2,2 M de participants, sous réserve d’être inscrit sur les listes électorales spécialement établies à cette occasion. Au total, 3200 personnes seront élues. Deux modalités de vote sont possible : par correspondance (à partir de la mi-janvier), avec envoi des bulletins avant le 31/01/2025 à minuit, et par voie électronique (à partir du 15/01/2025 jusqu’au 31/01/2025, minuit). Les résultats doivent être publiés le 06/02/2025, au plus tard le 08/02/2025. À la suite de cela, en mars, les membres précédemment élus aux niveaux départemental, interdépartemental et territorial élisent à leur tour les membres des 11 chambres régionales d’agriculture ou de région - Bretagne, Normandie et Pays de la Loire. Enfin, fin mars, les présidents des chambres départementales et régionales d’agriculture, constituant l’entité nationale Chambres d’agriculture France, élisent leur président, et les 34 membres du conseil d’administration élisent les 12 élus qui sié…

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Dossier

Élections 2025 chambres d’agriculture : mode d’emploi et positions des syndicats

À partir du 07/01/2025, et jusqu’au 31/01/2025, se tiennent les élections des chambres d’agriculture partout en France, afin de désigner, pour six ans, les membres des 87 chambres départementales, interdépartementales et territoriales d’agriculture et des deux chambres d’agriculture de région Ile-de-France et Corse. Des dispositions sont en cours d’élaboration pour reporter la tenue de ce scrutin à Mayotte, gravement touchée par le cyclone Chido le 14/12/2024. Ce scrutin rassemble plus de 2,2 M de participants, sous réserve d’être inscrit sur les listes électorales spécialement établies à cette occasion. Au total, 3200 personnes seront élues. Deux modalités de vote sont possible : par correspondance (à partir de la mi-janvier), avec envoi des bulletins avant le 31/01/2025 à minuit, et par voie électronique (à partir du 15/01/2025 jusqu’au 31/01/2025, minuit). Les résultats doivent être publiés le 06/02/2025, au plus tard le 08/02/2025. À la suite de cela, en mars, les membres précédemment élus aux niveaux départemental, interdépartemental et territorial élisent à leur tour les membres des 11 chambres régionales d’agriculture ou de région - Bretagne, Normandie et Pays de la Loire. Enfin, fin mars, les présidents des chambres départementales et régionales d’agriculture, constituant l’entité nationale Chambres d’agriculture France, élisent leur président, et les 34 membres du conseil d’administration élisent les 12 élus qui sié…

© flickr

Dossier

Phytos/semences : retrouver un horizon

Le marché des produits phytosanitaires est en perpétuelle mutation au gré des aléas climatiques, évolutions réglementaires et tensions géopolitiques. La campagne 2024 en a été un bel exemple, l’inattendu s’ajoutant à une situation déjà complexe, pour les groupes spécialisés dans les phytosanitaires comme les semenciers. Avec deux changements de gouvernement en une année, il a été complexe de trouver un appui politique pour stabiliser un cadre de développement à long terme. Un comité des solutions est lancé en mars 2024 par Agnès Pannier-Runacher, alors ministre déléguée à la Transition écologique auprès du ministre de l’Agriculture, en vue de répondre aux situations de distorsions de concurrence avec les autres États membres de l’UE et accélérer les alternatives aux produits phytosanitaires interdits. Celui-ci s’arrête net deux mois plus tard pour être relancé le 15/11/2024, puis de nouveau stoppé moins d’un mois plus tard… Pour mieux revenir ? Le secteur des semences n’est pas en reste. Le crédit impôt recherche, qui représente environ 100 M€ selon l’UFS, est menacé par les restrictions budgétaires. La lecture de la réglementation entrave l’exportation vers les pays tiers des semences traitées avec des produits phytosanitaires interdits en Europe et le dossier des NGT est toujours bloqué… Dans ce contexte perturbé, la résilience de la filière se dessine, grâce à des initiatives comme l…

© flickr

Dossier

Phytos/semences : retrouver un horizon

Le marché des produits phytosanitaires est en perpétuelle mutation au gré des aléas climatiques, évolutions réglementaires et tensions géopolitiques. La campagne 2024 en a été un bel exemple, l’inattendu s’ajoutant à une situation déjà complexe, pour les groupes spécialisés dans les phytosanitaires comme les semenciers. Avec deux changements de gouvernement en une année, il a été complexe de trouver un appui politique pour stabiliser un cadre de développement à long terme. Un comité des solutions est lancé en mars 2024 par Agnès Pannier-Runacher, alors ministre déléguée à la Transition écologique auprès du ministre de l’Agriculture, en vue de répondre aux situations de distorsions de concurrence avec les autres États membres de l’UE et accélérer les alternatives aux produits phytosanitaires interdits. Celui-ci s’arrête net deux mois plus tard pour être relancé le 15/11/2024, puis de nouveau stoppé moins d’un mois plus tard… Pour mieux revenir ? Le secteur des semences n’est pas en reste. Le crédit impôt recherche, qui représente environ 100 M€ selon l’UFS, est menacé par les restrictions budgétaires. La lecture de la réglementation entrave l’exportation vers les pays tiers des semences traitées avec des produits phytosanitaires interdits en Europe et le dossier des NGT est toujours bloqué… Dans ce contexte perturbé, la résilience de la filière se dessine, grâce à des initiatives comme l…

Dossier

Engrais : les enjeux d’une transition

News Tank aborde les enjeux de la souveraineté des engrais et son rôle incontournable dans la décarbonation de l’agriculture. Bien que le marché soit moins volatil qu’en 2022 et 2023, les prix continuent de connaître des fluctuations marquées. Dans ce cadre, les distributeurs se positionnent comme des moteurs essentiels, soutenant les agriculteurs dans cette transition tout en garantissant la compétitivité des exploitations. La souveraineté en matière d’engrais apparaît d’autant plus essentielle que la quantité d’engrais russes importés en France s’élevait à 750 000 tonnes en 2023 (contre 400 000 en 2021), soit 10 % des engrais utilisés la même année. « Ce chiffre pourrait être majoré d’environ 300 000 tonnes en ajoutant les produits passés par d’autres pays (Belgique, Turquie), qui ne seraient pas directement identifiés d’origine russe », indique Jacques Fourmanoir, vice-président de l’Unifa et directeur général Agrofourniture chez Timac Agro France, à News Tank. Pour remédier à cette situation, 16 propositions ont été transmises début juin 2024 à Agnès Pannier-Runacher, alors ministre déléguée auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, dans le cadre du futur plan de souveraineté sur les engrais, annoncé en mars 2024 par Marc Fesneau, ministre du Masa. Les propositions comportent trois axes : la limitation de la dépendance de la France à l’égard des importations, la sécurisation de l’environnement jur…

Dossier

Engrais : les enjeux d’une transition

News Tank aborde les enjeux de la souveraineté des engrais et son rôle incontournable dans la décarbonation de l’agriculture. Bien que le marché soit moins volatil qu’en 2022 et 2023, les prix continuent de connaître des fluctuations marquées. Dans ce cadre, les distributeurs se positionnent comme des moteurs essentiels, soutenant les agriculteurs dans cette transition tout en garantissant la compétitivité des exploitations. La souveraineté en matière d’engrais apparaît d’autant plus essentielle que la quantité d’engrais russes importés en France s’élevait à 750 000 tonnes en 2023 (contre 400 000 en 2021), soit 10 % des engrais utilisés la même année. « Ce chiffre pourrait être majoré d’environ 300 000 tonnes en ajoutant les produits passés par d’autres pays (Belgique, Turquie), qui ne seraient pas directement identifiés d’origine russe », indique Jacques Fourmanoir, vice-président de l’Unifa et directeur général Agrofourniture chez Timac Agro France, à News Tank. Pour remédier à cette situation, 16 propositions ont été transmises début juin 2024 à Agnès Pannier-Runacher, alors ministre déléguée auprès du ministre de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire, dans le cadre du futur plan de souveraineté sur les engrais, annoncé en mars 2024 par Marc Fesneau, ministre du Masa. Les propositions comportent trois axes : la limitation de la dépendance de la France à l’égard des importations, la sécurisation de l’environnement jur…

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L’emploi en entreprises de travaux agricoles de 2013 à 2023 (MSA-FNEDT)

Le nombre d’ETA progresse de 3 % en 2023, pour atteindre 15 718 entreprises (15 255 en 2022), dont 8647 employant de la main d’oeuvre, selon les chiffres de l’emploi des Etarf (Entreprises de travaux agricoles, forestiers et ruraux) publiés le 23/01/2025 par la FNEDT. La progression est de 20,1 % par rapport à 2013 (13 088 ETA). Les entreprises de travaux agricoles représentent 70 % de l’ensemble des Etarf (22 432 Etarf en 2023, soit +2 %, 21 997 en 2022). Les ETA emploient au total 131 939 salariés (23 524 CDI et 108 415 CDD) en 2023, soit +8,5 % par rapport à 2022 (121 641 contrats, 23 608 CDI et 98 033 CDD). Les départements les plus « utilisateurs » de contrats saisonniers sont ceux à terroirs viticoles (Champagne, Bordelais, Bourgogne), mais aussi de culture betteravière (Marne, Aube, Meuse et Haute-Marne).

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L’emploi en entreprises de travaux agricoles de 2013 à 2023 (MSA-FNEDT)

Le nombre d’ETA progresse de 3 % en 2023, pour atteindre 15 718 entreprises (15 255 en 2022), dont 8647 employant de la main d’oeuvre, selon les chiffres de l’emploi des Etarf (Entreprises de travaux agricoles, forestiers et ruraux) publiés le 23/01/2025 par la FNEDT. La progression est de 20,1 % par rapport à 2013 (13 088 ETA). Les entreprises de travaux agricoles représentent 70 % de l’ensemble des Etarf (22 432 Etarf en 2023, soit +2 %, 21 997 en 2022). Les ETA emploient au total 131 939 salariés (23 524 CDI et 108 415 CDD) en 2023, soit +8,5 % par rapport à 2022 (121 641 contrats, 23 608 CDI et 98 033 CDD). Les départements les plus « utilisateurs » de contrats saisonniers sont ceux à terroirs viticoles (Champagne, Bordelais, Bourgogne), mais aussi de culture betteravière (Marne, Aube, Meuse et Haute-Marne).

© Caisse des dépôts

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Ministère de l’Économie et des Finances : les membres du cabinet d’Éric Lombard

News Tank répertorie les membres du cabinet d’Éric Lombard, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Au 28/01/2025, le cabinet comporte onze personnes : • un directeur du cabinet, • un directrice de cabinet adjointe, • directeur de cabinet adjoint • une cheffe de cabinet, • une conseillère financement de l’économie et Outre-mer • une conseillère chargée des Relations avec le Parlement, • un onseiller juridique et Fiscalité, • un conseillère Affaires européennes et internationales, • un conseiller Macroéconomie et Finances publiques, • un conseiller presse internationale et économique, • un conseiller, chef du pôle communication.

© Caisse des dépôts

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Ministère de l’Économie et des Finances : les membres du cabinet d’Éric Lombard

News Tank répertorie les membres du cabinet d’Éric Lombard, ministre de l’Économie, des Finances et de la Souveraineté industrielle et numérique. Au 28/01/2025, le cabinet comporte onze personnes : • un directeur du cabinet, • un directrice de cabinet adjointe, • directeur de cabinet adjoint • une cheffe de cabinet, • une conseillère financement de l’économie et Outre-mer • une conseillère chargée des Relations avec le Parlement, • un onseiller juridique et Fiscalité, • un conseillère Affaires européennes et internationales, • un conseiller Macroéconomie et Finances publiques, • un conseiller presse internationale et économique, • un conseiller, chef du pôle communication.

© Laurent Saint-Martin/Twitter

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Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères : les membres du cabinet de Laurent Saint-Martin

News Tank répertorie les membres du cabinet de Laurent Saint-Martin, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé du commerce extérieur et des Français de l’étranger. Au 03/02/2025, le cabinet compte dix personnes : • un directeur de cabinet, • un directeur de cabinet adjoint, • un directeur de cabinet adjoint, chargé de l’attractivité et des Français de l’étranger • une cheffe de cabinet, • un conseiller spécial, chargé des relations avec les parlementaires et les élus, • une conseillère chargée des affaires consulaires, • un conseiller stratégie communication et presse, • une conseillère chargée de la politique commerciale, • un conseiller chargé des Français de l’étranger, • une conseillère attractivité et export.

© Laurent Saint-Martin/Twitter

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Ministère de l’Europe et des Affaires étrangères : les membres du cabinet de Laurent Saint-Martin

News Tank répertorie les membres du cabinet de Laurent Saint-Martin, ministre délégué auprès du ministre de l’Europe et des Affaires étrangères, chargé du commerce extérieur et des Français de l’étranger. Au 03/02/2025, le cabinet compte dix personnes : • un directeur de cabinet, • un directeur de cabinet adjoint, • un directeur de cabinet adjoint, chargé de l’attractivité et des Français de l’étranger • une cheffe de cabinet, • un conseiller spécial, chargé des relations avec les parlementaires et les élus, • une conseillère chargée des affaires consulaires, • un conseiller stratégie communication et presse, • une conseillère chargée de la politique commerciale, • un conseiller chargé des Français de l’étranger, • une conseillère attractivité et export.

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SIA 2025 : « Sans plus d’efforts sur le cœur de gamme, les importations augmenteront » (D. Chargé)

« La montée en gamme a longtemps structuré notre alimentation, mais aujourd’hui, elle ne répond plus suffisamment à ce que recherchent les Français, notamment dans un contexte de crise du pouvoir d’achat. Il est urgent de réajuster notre appareil de production et de transformation pour développer davantage de produits d’entrée de gamme et, surtout, de cœur de gamme. Ce sont ces produits qui correspondent aux attentes actuelles des consommateurs, tout en restant de qualité. Nous avons trop souvent réservé la montée en gamme à des produits haut de gamme ou premium, mais cette logique doit s’appliquer à toutes les catégories », déclare Dominique Chargé, président de LCA à News Tank le 13/02/2025. En amont du Salon international de l’agriculture, qui débute le 22/02/2025 sous le signe de « L’Agriculture, cette fierté française ! », Dominique Chargé revient pour News Tank sur les enjeux de compétitivité pour l’agriculture et sur la place des coopératives agricoles dans la reconquête de la souveraineté alimentaire.

© LCA

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SIA 2025 : « Sans plus d’efforts sur le cœur de gamme, les importations augmenteront » (D. Chargé)

« La montée en gamme a longtemps structuré notre alimentation, mais aujourd’hui, elle ne répond plus suffisamment à ce que recherchent les Français, notamment dans un contexte de crise du pouvoir d’achat. Il est urgent de réajuster notre appareil de production et de transformation pour développer davantage de produits d’entrée de gamme et, surtout, de cœur de gamme. Ce sont ces produits qui correspondent aux attentes actuelles des consommateurs, tout en restant de qualité. Nous avons trop souvent réservé la montée en gamme à des produits haut de gamme ou premium, mais cette logique doit s’appliquer à toutes les catégories », déclare Dominique Chargé, président de LCA à News Tank le 13/02/2025. En amont du Salon international de l’agriculture, qui débute le 22/02/2025 sous le signe de « L’Agriculture, cette fierté française ! », Dominique Chargé revient pour News Tank sur les enjeux de compétitivité pour l’agriculture et sur la place des coopératives agricoles dans la reconquête de la souveraineté alimentaire.

© Caroline Martin Caroline MARTIN

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BEI : « Le financement de l’agriculture est une priorité stratégique » (F. Lee / S. Collot / BEI)

« L’enveloppe de 3 Md€ destinée au financement de l’agriculture et de la bioéconomie dans l’Union européenne , annoncée le 10/12/2024 lors des Agrifood Days, sera distribuée à partir du premier semestre 2025, par le biais des établissements bancaires intermédiaires que nous aurons sélectionnés dans les pays. C’est un engagement de la BEI, aux côtés de la DG Agri, et cela s’inscrit également dans le plan stratégique de notre présidente, Nadia Calviño, qui a placé le soutien à l’agriculture parmi ses priorités stratégiques. Pour autant, la BEI (Banque Européenne d’Investissement), ainsi que le FEI (Fonds Européen d’Investissement, dédié au financement des PME et programmes innovants), soutiennent l’agriculture européenne depuis leur création, et à tous les échelons, depuis le système de garanties de prêts accordées aux jeunes agriculteurs par le FEI, jusqu’aux prêts aux régions ou États membres pour co-financer des projets soutenus par les fonds Feader, en passant par les financements d’infrastructure ou encore le soutien à l’innovation. Ainsi, en 2024, le groupe BEI, qui comprend la BEI et le FEI a consenti, au total, 6,4 Md€ de prêts à l’agriculture et à la bioéconomie, en Europe et dans les pays tiers. Aujourd’hui, avec cette enveloppe annoncée par Nadia Calviño, nous renforçons directement les fonds vers les petites structures et les PME de l’agriculture et de la bi…

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BEI : « Le financement de l’agriculture est une priorité stratégique » (F. Lee / S. Collot / BEI)

« L’enveloppe de 3 Md€ destinée au financement de l’agriculture et de la bioéconomie dans l’Union européenne , annoncée le 10/12/2024 lors des Agrifood Days, sera distribuée à partir du premier semestre 2025, par le biais des établissements bancaires intermédiaires que nous aurons sélectionnés dans les pays. C’est un engagement de la BEI, aux côtés de la DG Agri, et cela s’inscrit également dans le plan stratégique de notre présidente, Nadia Calviño, qui a placé le soutien à l’agriculture parmi ses priorités stratégiques. Pour autant, la BEI (Banque Européenne d’Investissement), ainsi que le FEI (Fonds Européen d’Investissement, dédié au financement des PME et programmes innovants), soutiennent l’agriculture européenne depuis leur création, et à tous les échelons, depuis le système de garanties de prêts accordées aux jeunes agriculteurs par le FEI, jusqu’aux prêts aux régions ou États membres pour co-financer des projets soutenus par les fonds Feader, en passant par les financements d’infrastructure ou encore le soutien à l’innovation. Ainsi, en 2024, le groupe BEI, qui comprend la BEI et le FEI a consenti, au total, 6,4 Md€ de prêts à l’agriculture et à la bioéconomie, en Europe et dans les pays tiers. Aujourd’hui, avec cette enveloppe annoncée par Nadia Calviño, nous renforçons directement les fonds vers les petites structures et les PME de l’agriculture et de la bi…

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SIA : « Fournir le cœur de gamme passera par la compétitivité et la productivité » (P. Le Brun, Cniel)

« En 2017, à Rungis, le président de la République Emmanuel Macron avait déclaré que seule la montée en gamme sauverait nos filières. Il s’avère que nous nous sommes complètement trompés. On a voulu nous faire croire que le consommateur n’achèterait que des produits haut de gamme. C’est faux. La filière laitière n’a jamais vraiment perdu le cœur de gamme. Nous sommes à un tournant, nous ne pouvons pas baisser les volumes, nous n’avons pas le droit de perdre des usines. Voilà pourquoi il est impératif de réaffirmer la nécessité de moderniser nos outils. Fournir le cœur de gamme passera par la compétitivité et la productivité », déclare Pascal Le Brun, président du Cniel, à News Tank le 10/02/2025. Alors que le Salon international de l’agriculture débute le 22/02/2025 sous le signe de « L’Agriculture, cette fierté française ! », Pascal Le Brun revient pour News Tank sur les principaux enjeux et défis de la filière laitière pour cette année.

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SIA : « Fournir le cœur de gamme passera par la compétitivité et la productivité » (P. Le Brun, Cniel)

« En 2017, à Rungis, le président de la République Emmanuel Macron avait déclaré que seule la montée en gamme sauverait nos filières. Il s’avère que nous nous sommes complètement trompés. On a voulu nous faire croire que le consommateur n’achèterait que des produits haut de gamme. C’est faux. La filière laitière n’a jamais vraiment perdu le cœur de gamme. Nous sommes à un tournant, nous ne pouvons pas baisser les volumes, nous n’avons pas le droit de perdre des usines. Voilà pourquoi il est impératif de réaffirmer la nécessité de moderniser nos outils. Fournir le cœur de gamme passera par la compétitivité et la productivité », déclare Pascal Le Brun, président du Cniel, à News Tank le 10/02/2025. Alors que le Salon international de l’agriculture débute le 22/02/2025 sous le signe de « L’Agriculture, cette fierté française ! », Pascal Le Brun revient pour News Tank sur les principaux enjeux et défis de la filière laitière pour cette année.

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© franckdunouau

Fiche personne

Clotilde Larrose

Directrice communication et affaires publiques @ Nestlé France

© franckdunouau

Fiche personne

Clotilde Larrose

Directrice communication et affaires publiques @ Nestlé France

© D.R.

Fiche personne

Anne Sander

Inspectrice du groupe 2 @ Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) • Conseillère régionale @ Région Grand Est (Conseil régional du Grand Est) • Vice-présidente @ Fédération Les Républicains du Bas-Rhin

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Anne Sander

Inspectrice du groupe 2 @ Conseil général de l’alimentation, de l’agriculture et des espaces ruraux (CGAAER) • Conseillère régionale @ Région Grand Est (Conseil régional du Grand Est) • Vice-présidente @ Fédération Les Républicains du Bas-Rhin

© EC

Fiche personne

Pierre Bascou

Directeur général adjoint Marchés et Relations Internationales @ DG Agri (Commission européenne) • Pierre Bascou est Directeur général adjoint Marchés et Relations Internationales à la DG Agri (Commission européenne)

© EC

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Pierre Bascou

Directeur général adjoint Marchés et Relations Internationales @ DG Agri (Commission européenne) • Pierre Bascou est Directeur général adjoint Marchés et Relations Internationales à la DG Agri (Commission européenne)

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Fiche organisation

Nestlé France

• Filiale française de la multinationale suisse spécialisée dans l’industrie agroalimentaire• Création : 1868 • Activités : aliments pour bébé, boissons, café, céréales, confiseries, eaux, produits végétaux, purina petcare• Données clés : - Implantation : 14 sites industriels, dont Quimperlé (Finistère), Montfort-sur-Risle (Eure), Dieppe (Seine-Maritime), Boué (Aisne), Arches (Vosges), Rumilly (Haute-Savoie), Vergèze (Gard), Aubigny (Somme) et Pontarlier (Doubs)- Effectif : 10 000 collaborateurs - Marques : + de 50, dont Nesquik, Maggi, Perrier, Nespresso, Contrex, Vittel, Ricoré, Cookie Crisp, Crunch, etc.• Présidente : Sophie Dubois (depuis janvier 2025)• Contact : Elodie Lemeunier, directrice communication de Nestlé France

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Nestlé France

• Filiale française de la multinationale suisse spécialisée dans l’industrie agroalimentaire• Création : 1868 • Activités : aliments pour bébé, boissons, café, céréales, confiseries, eaux, produits végétaux, purina petcare• Données clés : - Implantation : 14 sites industriels, dont Quimperlé (Finistère), Montfort-sur-Risle (Eure), Dieppe (Seine-Maritime), Boué (Aisne), Arches (Vosges), Rumilly (Haute-Savoie), Vergèze (Gard), Aubigny (Somme) et Pontarlier (Doubs)- Effectif : 10 000 collaborateurs - Marques : + de 50, dont Nesquik, Maggi, Perrier, Nespresso, Contrex, Vittel, Ricoré, Cookie Crisp, Crunch, etc.• Présidente : Sophie Dubois (depuis janvier 2025)• Contact : Elodie Lemeunier, directrice communication de Nestlé France

Fiche organisation

Bunge

Multinationale américaine du domaine de l’agro-industrie et du négoce de matières premières.• Création : 1818 (JP Bunge & Co à Amsterdam), implantation aux États-Unis en 2001• Chiffre d’affaires : 59, 5 Md$ (2023)• Effectif : 23 000 salariés• PDG : Gregory Heckman• Contact : Bunge France

Fiche organisation

Bunge

Multinationale américaine du domaine de l’agro-industrie et du négoce de matières premières.• Création : 1818 (JP Bunge & Co à Amsterdam), implantation aux États-Unis en 2001• Chiffre d’affaires : 59, 5 Md$ (2023)• Effectif : 23 000 salariés• PDG : Gregory Heckman• Contact : Bunge France

Fiche organisation

Mouvement des entreprises de France (Medef)

Organisation patronale représentative au niveau national et interprofessionnel• Création : le 27/10/1998 (en remplacement du CNPF)• Chiffres clés :- Fédérations adhérentes (2023) : 99- Entreprises adhérentes (2023) : 190 000- Organisations territoriales (2023) : 119- Audience entreprises : 21,96 %, audience employeurs : 32,94 %, audience salariés : 66,32 % (2021)• Président : Patrick Martin• Cinq vice-présidents :- Bruno Arcadipane, vice-président en charge des adhérents- Paola Fabiani, vice-présidente en charge de l’entrepreneuriat et porte-parole- Fabrice Le Sache, vice-président en charge de l’Europe- Samuel Tual, trésorier- Sophie L’Hélias, vice-présidente « prospective et idées »• Directrice générale : Garance Pineau • DRH : Laurent Bourgoin• Contact : Vincent de Bernardi, directeur de la communication• Tél. : 01 53 59 17 77

Fiche organisation

Mouvement des entreprises de France (Medef)

Organisation patronale représentative au niveau national et interprofessionnel• Création : le 27/10/1998 (en remplacement du CNPF)• Chiffres clés :- Fédérations adhérentes (2023) : 99- Entreprises adhérentes (2023) : 190 000- Organisations territoriales (2023) : 119- Audience entreprises : 21,96 %, audience employeurs : 32,94 %, audience salariés : 66,32 % (2021)• Président : Patrick Martin• Cinq vice-présidents :- Bruno Arcadipane, vice-président en charge des adhérents- Paola Fabiani, vice-présidente en charge de l’entrepreneuriat et porte-parole- Fabrice Le Sache, vice-président en charge de l’Europe- Samuel Tual, trésorier- Sophie L’Hélias, vice-présidente « prospective et idées »• Directrice générale : Garance Pineau • DRH : Laurent Bourgoin• Contact : Vincent de Bernardi, directeur de la communication• Tél. : 01 53 59 17 77

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